La période du Ka San ou la fête des morts est ouverte dans la communauté chinoise. Elle permet de rendre hommage aux défunts mais aussi de se retrouver en famille au cimetière chinois de Arue. Une tradition qui se perpétue. Reportage
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Pour la communauté chinoise s'ouvre la période du Ka San, la fête des morts. Les familles se retrouvent au cimetière pour une cérémonie d'hommage aux défunts. Cette fête est célébré deux fois l'an : ce mois-ci donc, puis en novembre. Un moment de recueillement mais aussi de retrouvailles et
de partage entre les familles.
La tradition impose également de déposer de l'argent, de l'encens, de la nourriture sur les tombes pour permettre aux défunts de subvenir à leurs besoins dans leur nouveau monde. "On suit ce que les anciens faisaient", confie Marcel Vongue. Ces traditions sont transmises aux plus jeunes pour ne pas qu'elles disparaissent. "On continue de communiquer la signification de ce qu'on fait", explique Maeva Siu. Pour les familles éclatées, la cérémonie peut se faire au temple Kanti. "Beaucoup de personnes viennent ici", affirme Richard Chenoux, officiant du temple Kanti.
de partage entre les familles.
La tradition impose également de déposer de l'argent, de l'encens, de la nourriture sur les tombes pour permettre aux défunts de subvenir à leurs besoins dans leur nouveau monde. "On suit ce que les anciens faisaient", confie Marcel Vongue. Ces traditions sont transmises aux plus jeunes pour ne pas qu'elles disparaissent. "On continue de communiquer la signification de ce qu'on fait", explique Maeva Siu. Pour les familles éclatées, la cérémonie peut se faire au temple Kanti. "Beaucoup de personnes viennent ici", affirme Richard Chenoux, officiant du temple Kanti.