Après avoir fait un tour d’horizon avec les organisations professionnelles de pêcheurs, le ministre de la Relance économique et de l’Economie bleue a bouclé son tour de table, hier après-midi, par une rencontre avec l’ensemble des mareyeurs du port de pêche de Papeete.
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Les échanges ont porté principalement sur la nécessité de mettre en œuvre rapidement une stratégie pour le secteur de la pêche adaptée au contexte actuel. En effet, les projets de construction de navires de pêche, d’ores et déjà inscrits dans le processus d’agrément à la défiscalisation, nécessitent une meilleure visibilité sur le secteur. Par ailleurs, cette stratégie facilitera également la mise en place de l’éco-certification MSC de la pêche palangrière, gage de qualité de la production, pour développer la filière à l’export.
De cette stratégie à moyen et long terme découleront également les perspectives en matière d’équipements, de renouvellement et développement de la flottille, d’extension du port de pêche tout en envisageant éventuellement son déplacement sur le site de Faratea. Toutefois, il parait dès à présent nécessaire de prévoir de nouveaux aménagements pour permettre aux mareyeurs de travailler dans de meilleures conditions, dans le respect des normes sanitaires requises pour un marché à l’export en plein essor.
La responsabilité de chacun est requise pour assurer une bonne organisation et la professionnalisation de la filière. Il est important de fidéliser les marchés internationaux pour ouvrir et maintenir les débouchés à l’export. Ces marchés permettent d’écouler la production en période de saturation du marché local, ce qui contribue à une meilleure régulation des prix.
Teva Rohfritsch a également rappelé le rôle d’accompagnement du secteur public qui désormais ne devra plus s’ingérer dans la production et la commercialisation, mais veillera à la mise en place d’outils structurants et réglementaires pour soutenir la filière.
Source Présidence
Le port de pêche à Faratea ?
De cette stratégie à moyen et long terme découleront également les perspectives en matière d’équipements, de renouvellement et développement de la flottille, d’extension du port de pêche tout en envisageant éventuellement son déplacement sur le site de Faratea. Toutefois, il parait dès à présent nécessaire de prévoir de nouveaux aménagements pour permettre aux mareyeurs de travailler dans de meilleures conditions, dans le respect des normes sanitaires requises pour un marché à l’export en plein essor.
Plus aucune ingérence publique
La responsabilité de chacun est requise pour assurer une bonne organisation et la professionnalisation de la filière. Il est important de fidéliser les marchés internationaux pour ouvrir et maintenir les débouchés à l’export. Ces marchés permettent d’écouler la production en période de saturation du marché local, ce qui contribue à une meilleure régulation des prix.
Teva Rohfritsch a également rappelé le rôle d’accompagnement du secteur public qui désormais ne devra plus s’ingérer dans la production et la commercialisation, mais veillera à la mise en place d’outils structurants et réglementaires pour soutenir la filière.
Source Présidence