Depuis le mois de juillet 2014, l'hôpital de Taaone est un des rares hôpitaux publics français a proposé le DPNI, le dépistage prénatal non invasif
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Avec le DPNI, une simple prise de sang, fini le risque de fausse couche lié à lamniocentèse . Le risque de perte foetale est d'un sur cent.
Chaque année, 250 futures mamans éviteront l'amniocentèse et au delà du risque de fausse couche, les coûts financiers sont très intéressants pour un territoire comme la Polynésie Française. Le DPNI, c'est le bébé du docteur Beaumont, chef su service gynécologie du CHPF. Il s'est battu pour imposer le test à l'hôpital. Il est interrogé par Hélène Harté et Jérome Lee :
Une situation qui selon la CPS devrait être régularisée d'ici 2 à 3 mois. Tous les détails avec Hélène Harté et Jérome Lee dans votre journal télévisé.
Le DPNI bientôt remboursé par la CPS
Chaque année, 250 futures mamans éviteront l'amniocentèse et au delà du risque de fausse couche, les coûts financiers sont très intéressants pour un territoire comme la Polynésie Française. Le DPNI, c'est le bébé du docteur Beaumont, chef su service gynécologie du CHPF. Il s'est battu pour imposer le test à l'hôpital. Il est interrogé par Hélène Harté et Jérome Lee :
interview taote Etienne Beaumont, chef du service gynécologie du CHPF
Reste que le CHPF est allé plus vite que la CPS. Le DPNI n'est toujours pas remboursé par la caisse. C'est donc l'hôpital qui le prend en charge sur son budget. Un budget amputé de 600 millions de francs pacifiques, cette année.Une situation qui selon la CPS devrait être régularisée d'ici 2 à 3 mois. Tous les détails avec Hélène Harté et Jérome Lee dans votre journal télévisé.