René Temeharo, s’est rendu, jeudi, au siège de l’Union polynésienne pour la jeunesse (UPJ).. Cette rencontre, initiée par l’association, avait pour but de débattre autour des attentes des jeunes recueillies fin 2014 à travers une enquête menée par l’UPJ elle-même.
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Le directeur de l’UPJ, Sylvain Pauwels, a pu présenter au ministre les résultats de cette enquête qui a concerné plus de 1 600 jeunes de Tahiti, Moorea et de diverses îles des archipels polynésiens. Celle-ci met en exergue la situation et les attentes des jeunes venant principalement des quartiers populaires de l’agglomération. Il en résulte que ces jeunes s’orientent souvent vers des filières de formation professionnelle, sont en décrochage scolaire, ou ont un niveau d’études généralement faible.
Par ailleurs, beaucoup de jeunes qui ne suivent pas de formation ou sont sans emploi tendent vers une cohabitation de plus en plus tardive chez leurs parents. Une importante addiction à la drogue et à l’alcool ainsi que des problèmes de mobilité ont notamment été observés lors de cette enquête. Moins d’un jeune sur cinq est engagé dans le bénévolat associatif. Le sport (un jeune sur cinq pratique le football et le futsal), la danse et les réseaux sociaux, figurent parmi leurs principaux centres d’intérêt.
Cependant, l’emploi est de loin la préoccupation première des jeunes à l’issue de leurs études. De même, une majorité d’entre eux souhaiterait s’investir dans un projet évènementiel, d’entraide social ou personnel.
A l’issue de cette rencontre, le ministre a assuré l’UPJ de son soutien pour l’accompagner dans les projets socialement innovants visant à valoriser l’activité des jeunes sous toutes ses formes. Il a été convenu de revenir sur les actions prioritaires à mener notamment avec l’UPJ dans le cadre d’une convention d’objectifs qui devrait être signée au cours du second trimestre.
En outre, le réseau associatif des jeunes pourrait être renforcé, avec l’accompagnement technique de l’UPJ, dans les quartiers populaires, en milieu rural ainsi que dans les îles. Le ministre a, dans ce sens, la volonté d’engager un partenariat interministériel et communal renforcé pour mener des actions encore plus efficaces en faveur de la jeunesse.
(D'après communiqué)
Par ailleurs, beaucoup de jeunes qui ne suivent pas de formation ou sont sans emploi tendent vers une cohabitation de plus en plus tardive chez leurs parents. Une importante addiction à la drogue et à l’alcool ainsi que des problèmes de mobilité ont notamment été observés lors de cette enquête. Moins d’un jeune sur cinq est engagé dans le bénévolat associatif. Le sport (un jeune sur cinq pratique le football et le futsal), la danse et les réseaux sociaux, figurent parmi leurs principaux centres d’intérêt.
Cependant, l’emploi est de loin la préoccupation première des jeunes à l’issue de leurs études. De même, une majorité d’entre eux souhaiterait s’investir dans un projet évènementiel, d’entraide social ou personnel.
A l’issue de cette rencontre, le ministre a assuré l’UPJ de son soutien pour l’accompagner dans les projets socialement innovants visant à valoriser l’activité des jeunes sous toutes ses formes. Il a été convenu de revenir sur les actions prioritaires à mener notamment avec l’UPJ dans le cadre d’une convention d’objectifs qui devrait être signée au cours du second trimestre.
En outre, le réseau associatif des jeunes pourrait être renforcé, avec l’accompagnement technique de l’UPJ, dans les quartiers populaires, en milieu rural ainsi que dans les îles. Le ministre a, dans ce sens, la volonté d’engager un partenariat interministériel et communal renforcé pour mener des actions encore plus efficaces en faveur de la jeunesse.
(D'après communiqué)