Dans un communiqué, le Tapura se félicite de l'élection de deux de ses candidats et remercie les autres. Il égratigne au passage le Tahoeraa.
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La pilule est décidément difficile à avaler pour le Tapura. Malgré deux députés élus sur trois, le parti rouge et blanc ne décolère pas et continue de reprocher au Tahoeraa d'avoir appelé à voter pour un député indépendantiste, Moetai Brotherson.
Fort de 55.000 voix, le Tapura devient, après ces élections législatives, la première force politique du Pays. Dans un communiqué, il remercie les électeurs, les équipes de campagne et félicite Moetai Bortherson, non sans une pointe d'amertume :
"Même s’il a fait un score remarquable, Patrick Howell n’a pas été élu. Il avait deux candidats contre lui. Le premier, officiel, Moetai Brotherson qui a eu une attitude digne tout au long de cette campagne et que nous félicitons pour son élection.
L’autre, sournois, c’était le Tahoeraa Huiraatira qui a désormais besoin du Tavini pour exister politiquement par procuration.
Ravagé par le ressentiment, le Tahoeraa a préféré faire voter pour le candidat indépendantiste plutôt que de servir l’intérêt général.
Le Tapura Huiraatira, à Paris comme en Polynésie française, continuera à travailler pour que la Polynésie française avance."
Fort de 55.000 voix, le Tapura devient, après ces élections législatives, la première force politique du Pays. Dans un communiqué, il remercie les électeurs, les équipes de campagne et félicite Moetai Bortherson, non sans une pointe d'amertume :
"Même s’il a fait un score remarquable, Patrick Howell n’a pas été élu. Il avait deux candidats contre lui. Le premier, officiel, Moetai Brotherson qui a eu une attitude digne tout au long de cette campagne et que nous félicitons pour son élection.
L’autre, sournois, c’était le Tahoeraa Huiraatira qui a désormais besoin du Tavini pour exister politiquement par procuration.
Ravagé par le ressentiment, le Tahoeraa a préféré faire voter pour le candidat indépendantiste plutôt que de servir l’intérêt général.
Le Tapura Huiraatira, à Paris comme en Polynésie française, continuera à travailler pour que la Polynésie française avance."