Ce week-end, un surfeur de 14 ans est décédé de la leptospirose. Les responsables de club déplorent le manque de prévention et d'information de la part des autorités et font appel à la vigilance de leurs élèves.
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Les récentes pluies incessantes sont propices à la leptospirose. Cette maladie bactérienne est encore présente sous nos climats chauds et humides.
Le risque de contamination augmente notamment aux embouchures des rivières. Les responsables d’écoles de surf sont d’ailleurs très vigilants et évitent la baignade dans les zones à risques, comme l’explique Michel Demond : "Dans mon métier on est responsable des enfants, des élèves qui sont avec moi. Et il est vrai que parfois j'annule des séances de surf pour cause de mauvais temps, quand la mer est très sale voire chocolat avec beaucoup de saletés dans l'eau. Il faut savoir que sur ces plages là il y aussi des rats qui sont responsables des maladies comme la leptospirose ou au pire des élevages de cochon le long des rivières. Donc je fais très attention par rapport à la qualité de l'eau et aux intempéries. Notre travail consiste aussi à informer ces enfants là et à les dissuader de surfer par temps de pluie, qu'ils soient avec nous ou tout seul.
Aucune signalétique...
Il est malheureux que tout le monde ne soit pas informé à ce niveau là. Je pense aux politiciens, aux maires qui pourraient penser à mettre des pancartes devant les embouchures. Il n'y en a ni sur les spots ni à l'endroit où se déversent les rivières. Je pense que cela n'existe pas en Polynésie.
En France, ou partout dans le monde, quand il y a danger, les personnes qui sont amenées à se baigner sont informées. Nous on en parle que deux ou trois mois dans l'année, en Décembre Janvier. Je pense que c'est aux maires de prendre leurs responsabilités".
Le risque de contamination augmente notamment aux embouchures des rivières. Les responsables d’écoles de surf sont d’ailleurs très vigilants et évitent la baignade dans les zones à risques, comme l’explique Michel Demond : "Dans mon métier on est responsable des enfants, des élèves qui sont avec moi. Et il est vrai que parfois j'annule des séances de surf pour cause de mauvais temps, quand la mer est très sale voire chocolat avec beaucoup de saletés dans l'eau. Il faut savoir que sur ces plages là il y aussi des rats qui sont responsables des maladies comme la leptospirose ou au pire des élevages de cochon le long des rivières. Donc je fais très attention par rapport à la qualité de l'eau et aux intempéries. Notre travail consiste aussi à informer ces enfants là et à les dissuader de surfer par temps de pluie, qu'ils soient avec nous ou tout seul.
Aucune signalétique...
Il est malheureux que tout le monde ne soit pas informé à ce niveau là. Je pense aux politiciens, aux maires qui pourraient penser à mettre des pancartes devant les embouchures. Il n'y en a ni sur les spots ni à l'endroit où se déversent les rivières. Je pense que cela n'existe pas en Polynésie.
En France, ou partout dans le monde, quand il y a danger, les personnes qui sont amenées à se baigner sont informées. Nous on en parle que deux ou trois mois dans l'année, en Décembre Janvier. Je pense que c'est aux maires de prendre leurs responsabilités".