Le jury a rempli son devoir avec les projections des quatre derniers films en compétition. Reste désormais à choisir puis délibérer pour décerner les différents prix.
BLACK PANTHER WOMAN :
Un 52 minutes australien réalisé par Rachel Perkins et qui raconte l’histoire de Marlène Cummins, aborigène tombée amoureuse du leader du Parti des Black Panthers australien en 1972, et qui a combattu à ses côtés contre discrimination raciale. Mais à la fin de leur relation, Marlène s’est enlisée dans un cycle d’addiction qui l’a conduite dans la rue. 40 ans plus tard, elle lutte toujours et se rend à New York pour un rassemblement international du mouvement.
TATAU, LA CULTURE D’UN ART :
C’est la dernière production polynésienne visionné par le jury dans le cadre de la compétition. Un 52 minutes réalisé par Jean-Philippe Joaquim et consacré à l’art du tatouage polynésien. Ce marquage social polynésien, autrefois essentiel, a longtemps été interdit par les missionnaires. Puis l’interdit, intériorisé par la population, a quasi effacé la mémoire de cet art, devenu presque clandestin. Fin 1970, grâce à Tavana Salmon et au renouveau culturel, il est réapparu, s’inspirant des motifs marquisiens préservés. Aujourd’hui, il triomphe dans la société polynésienne et s’exporte.
MERI MARKHAM :
Un des films les plus courts de ceux en compétition : 26 minutes. Une production papou réalisée par Klinit Barry. L’histoire de Jenifer Baing Waiko du clan des Aztera, fille de chef et ancien homme politique et d’une mère d’origine néo-zélandaise. Elle a mené de brillantes études en Australie et en Nouvelle-Zélande. Revenue au pays, elle a repris l’exploitation familiale de cacao avec son mari et s’occupe d’une ONG. Voulant apporter sa force et sa détermination pour aider son pays, elle se lance en politique en 2012.
AU CŒUR DE LA BROUSSE EN FOLIE :
Une production calédonienne de 52 minutes réalisée par Jenny Briffa. Elle traite de la dimension prise par une bande-dessinée créée par Bernard Berger. Depuis 1983, il a publié une vingtaine de BD « La Brousse en folie » qui met à l’honneur les habitants de l’île. A l’occasion des 30 ans de sa première parution, Berger a partagé les sources de son inspiration, permettant de réaliser que ses histoires vont bien au-delà de l’humour et mettent en scène le destin commun qui lie les habitants du « Caillou ».
Un 52 minutes australien réalisé par Rachel Perkins et qui raconte l’histoire de Marlène Cummins, aborigène tombée amoureuse du leader du Parti des Black Panthers australien en 1972, et qui a combattu à ses côtés contre discrimination raciale. Mais à la fin de leur relation, Marlène s’est enlisée dans un cycle d’addiction qui l’a conduite dans la rue. 40 ans plus tard, elle lutte toujours et se rend à New York pour un rassemblement international du mouvement.
TATAU, LA CULTURE D’UN ART :
C’est la dernière production polynésienne visionné par le jury dans le cadre de la compétition. Un 52 minutes réalisé par Jean-Philippe Joaquim et consacré à l’art du tatouage polynésien. Ce marquage social polynésien, autrefois essentiel, a longtemps été interdit par les missionnaires. Puis l’interdit, intériorisé par la population, a quasi effacé la mémoire de cet art, devenu presque clandestin. Fin 1970, grâce à Tavana Salmon et au renouveau culturel, il est réapparu, s’inspirant des motifs marquisiens préservés. Aujourd’hui, il triomphe dans la société polynésienne et s’exporte.
MERI MARKHAM :
Un des films les plus courts de ceux en compétition : 26 minutes. Une production papou réalisée par Klinit Barry. L’histoire de Jenifer Baing Waiko du clan des Aztera, fille de chef et ancien homme politique et d’une mère d’origine néo-zélandaise. Elle a mené de brillantes études en Australie et en Nouvelle-Zélande. Revenue au pays, elle a repris l’exploitation familiale de cacao avec son mari et s’occupe d’une ONG. Voulant apporter sa force et sa détermination pour aider son pays, elle se lance en politique en 2012.
AU CŒUR DE LA BROUSSE EN FOLIE :
Une production calédonienne de 52 minutes réalisée par Jenny Briffa. Elle traite de la dimension prise par une bande-dessinée créée par Bernard Berger. Depuis 1983, il a publié une vingtaine de BD « La Brousse en folie » qui met à l’honneur les habitants de l’île. A l’occasion des 30 ans de sa première parution, Berger a partagé les sources de son inspiration, permettant de réaliser que ses histoires vont bien au-delà de l’humour et mettent en scène le destin commun qui lie les habitants du « Caillou ».