Les frondeurs du Tahoeraa iront-ils jusqu’à créer un nouveau groupe politique à l’Assemblée de Polynésie ? Réponse sans doute aujourd'hui.
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« Il y a du changement dans l’air » a dit le président du Pays, Edouard Fritch, sur Radio Polynésie, hier. Des discussions ont lieu depuis que les résultats des sénatoriales sont tombés. Le groupe des « pro-Fritch » ne compte, a priori, que quatorze représentants. Insuffisant pour composer une majorité à Tarahoi.
Demain, s’ouvre la deuxième session administrative de l’Assemblée. La journée s’annonce décisive car les représentants vont procéder à l’élection de toutes les commissions.
Et les « frondeurs » orange craignent de perdre leur place. On fait le point avec Alexandre Le Quéré :
Pour avoir la majorité à l’Assemblée de la Polynésie, il faut avoir 29 représentants sur les 57 que compte l’hémicycle. Aujourd’hui, le groupe Tahoeraa compte 38 élus.
Dans un communiqué, le parti orange dénonce le harcèlement dont seraient victimes ses élus, en vue du renouvellement des commissions. Selon le Tahoeraa, le président du Pays, Edouard fritch, tenterait « de les courtiser, multipliant promesses et menaces, soutiens divers, CAE et autres subventions ». Le parti se réserve le droit de porter plainte pour chantage et harcèlement.
En attendant, Marcel Tuihani se pose la question du bien-fondé d'un 4e groupe à l'Assemblée :
Demain, s’ouvre la deuxième session administrative de l’Assemblée. La journée s’annonce décisive car les représentants vont procéder à l’élection de toutes les commissions.
Et les « frondeurs » orange craignent de perdre leur place. On fait le point avec Alexandre Le Quéré :
frondeur Tahoeraa
Pour avoir la majorité à l’Assemblée de la Polynésie, il faut avoir 29 représentants sur les 57 que compte l’hémicycle. Aujourd’hui, le groupe Tahoeraa compte 38 élus.
Dans un communiqué, le parti orange dénonce le harcèlement dont seraient victimes ses élus, en vue du renouvellement des commissions. Selon le Tahoeraa, le président du Pays, Edouard fritch, tenterait « de les courtiser, multipliant promesses et menaces, soutiens divers, CAE et autres subventions ». Le parti se réserve le droit de porter plainte pour chantage et harcèlement.
En attendant, Marcel Tuihani se pose la question du bien-fondé d'un 4e groupe à l'Assemblée :