Après l’annonce de la dissolution d’une brigade de gendarmerie maritime, la députée Maina Sage a souhaité relancer la question du remplacement du patrouilleur des douanes de Polynésie française, l’Arafenua, échoué il y a tout juste un an
Rappelant les atouts que représentent les eaux polynésiennes pour la France, elle a insisté sur les missions essentielles de contrôle, de surveillance, mais également de relais des actions douanières à terre, d’actions de sauvetage en mer ou de protection environnementale que ce patrouilleur exerçait.
La perte de ce bâtiment a engendré un grave déficit de contrôle sur la moitié de l’espace maritime français aujourd’hui menacé de devenir une véritable passoire pour des trafics en tout genre.
La réponse du ministre Eckert, en charge du budget, a été très évasive, rappelant les efforts de mutualisation obligatoires pour les moyens de l’État. Il propose néanmoins une vérification in situ des besoins polynésiens en partenariat avec le secrétariat général de la mer. La députée promet de revenir à la charge très prochainement dans le cadre des différents débats budgétaires à venir sur les politiques maritimes, mais également de défense et de sécurité de la France.
Les eaux polynésiennes sont un véritable atout pour la France, la hissant au 2e rang des nations maritimes du monde. A ce titre, elles méritent, comme les autres, d’être protégées correctement. Le remplacement de ce patrouilleur des douanes est essentiel à cette mission de compétence d’État.
La perte de ce bâtiment a engendré un grave déficit de contrôle sur la moitié de l’espace maritime français aujourd’hui menacé de devenir une véritable passoire pour des trafics en tout genre.
La réponse du ministre Eckert, en charge du budget, a été très évasive, rappelant les efforts de mutualisation obligatoires pour les moyens de l’État. Il propose néanmoins une vérification in situ des besoins polynésiens en partenariat avec le secrétariat général de la mer. La députée promet de revenir à la charge très prochainement dans le cadre des différents débats budgétaires à venir sur les politiques maritimes, mais également de défense et de sécurité de la France.
Les eaux polynésiennes sont un véritable atout pour la France, la hissant au 2e rang des nations maritimes du monde. A ce titre, elles méritent, comme les autres, d’être protégées correctement. Le remplacement de ce patrouilleur des douanes est essentiel à cette mission de compétence d’État.