Les membres du CESC rejettent la création d'un 4e collège

Un projet de loi visant à modifier la représentativité au sein du CESC met le feu aux poudres dans la quatrième institution du pays. Les associations et les représentants des salariés sont décidés à ne pas se laisser amputer de quatre membres au profit, selon eux, des patrons
Vendredi 12 janvier, les membres du CESC ont dit non à la création d'un quatrième collège et au changement de répartition des sièges au sein de l'institution. Avec l'arrivée du collège Développement, plusieurs secteurs feront leur entrée au CESC notamment le numérique ou encore la santé. Chaque ancien collège perdra ainsi des sièges passant de 16 à 12.

Cette baisse de représentativité fâche les syndicats. Les associations et les représentants des salariés sont décidés à ne pas se laisser amputer de quatre membres au profit selon eux des patrons. "On met des gens intelligents et nous on est des idiots, nous n'avons pas notre place, voilà ce que je comprends ! ", dénonce Mahinui Temarii de CSTPFO et membre du collège au CESC.

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