Moetai Brotherson a déposé au Palais Bourbon sa première proposition de loi. Le texte vise à renforcer l'intégrité des mandats électifs et de la représentation nationale.
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Le député propose de rendre inéligible à vie tout élu définitivement condamné pour malversations autour des deniers publics et/ou abus de pouvoir lié au mandat électif.
C'était une promesse électorale du candidat indépendantiste. "Ma campagne des législatives reposait sur ma profession de foi. C’est pour moi le guide de référence de mon action parlementaire et la toise à l’aune de laquelle mon mandat devra être évalué. Avec des priorités identifiées. Au premier rang de ces priorités : la probité des élus, indispensable à une confiance retrouvée entre les citoyens et le Politique", peut-on lire dans le communiqué envoyé par député.
Cette proposition de loi se veut "trans-partisane et s’inscrit dans la continuité du changement porté par la "Loi pour la confiance dans la vie politique" qu’elle entend compléter". Cette loi est actuellement en phase d’examen par des députés de tous groupes. "A l’échelle du Fenua, j’espère qu’elle permettra à la Polynésie française de sortir définitivement de la 2ème place du classement OXFAM des collectivités les plus corrompues, juste derrière St Martin et pourquoi pas de sortir totalement de ce classement ?", souligne Moetai Brotherson.
Dès mercredi 24 janvier, cette proposition de loi fera l’objet d’un courrier à tous les élus et aux parlementaires polynésiens, membres du CESC, leur demandant leur avis et positionnement. Les professionnels de la justice en Polynésie seront également destinataires du courrier. Dès vendredi, elle sera disponible en ligne.
C'était une promesse électorale du candidat indépendantiste. "Ma campagne des législatives reposait sur ma profession de foi. C’est pour moi le guide de référence de mon action parlementaire et la toise à l’aune de laquelle mon mandat devra être évalué. Avec des priorités identifiées. Au premier rang de ces priorités : la probité des élus, indispensable à une confiance retrouvée entre les citoyens et le Politique", peut-on lire dans le communiqué envoyé par député.
Cette proposition de loi se veut "trans-partisane et s’inscrit dans la continuité du changement porté par la "Loi pour la confiance dans la vie politique" qu’elle entend compléter". Cette loi est actuellement en phase d’examen par des députés de tous groupes. "A l’échelle du Fenua, j’espère qu’elle permettra à la Polynésie française de sortir définitivement de la 2ème place du classement OXFAM des collectivités les plus corrompues, juste derrière St Martin et pourquoi pas de sortir totalement de ce classement ?", souligne Moetai Brotherson.
Dès mercredi 24 janvier, cette proposition de loi fera l’objet d’un courrier à tous les élus et aux parlementaires polynésiens, membres du CESC, leur demandant leur avis et positionnement. Les professionnels de la justice en Polynésie seront également destinataires du courrier. Dès vendredi, elle sera disponible en ligne.
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