Certains ponts et routes n'ont pas résisté à la puissance des rivières et de ce qu'elles charriaient, lors des intempéries de ce week-end. Les maires et le ministre de l'Equipement doivent chiffrer les dégâts.
•
De nombreuses routes sur l'île de Tahiti ont souffert des intempéries. Au lendemain des inondations, l'heure est au constat.
Sur le terrain, avec le gouvernement, le nouveau ministre de l’Equipement, Luc Faatau, a établi un constat relatif aux dégâts occasionnés. Pas de chiffres pour l’instant.
Les routes autour de l'île n'ont subi presque aucun dommage, inondations mises à part. Seule la route du Taharaa, bien que dégagée, n’est toujours pas rouverte. Le maire de Arue, Philip Schyle, doute qu’elle ne soit suffisamment sécurisée.
Ce sont les routes pénétrant à l'intérieur des vallées qui ont payé le plus lourd tribu. Le gouvernement ne sait toujours pas à combien se montent les dégâts. Beaucoup de routes étaient sous la boue ou les éboulements. Celles-ci sont à présent dégagées. Certaines ont perdu une partie du bitume qui les habillaient, laissant apparaitre des nids de poules. D'autres encore sont partiellement détruites, comme l'explique Oscar Temaru, maire de Faa'a.
Dans un communiqué diffusé lundi soir, la présidence indique que la circulation publique sur les voies territoriales est rétablie et ouverte sur toute l’île de Tahiti :
Hormis sur deux points, qui sont :
- à Punaauia, au niveau du pont de Matatia (RT1), circulation fermée en raison de l’effondrement du pont.
- à Arue, au niveau de la montée de la route du Tahara’a, (sens Arue-Mahina), avec un dispositif particulier de circulation, en raison des mesures de sécurisation et de contrôle qui sont actuellement en cours de finalisation.
De nombreuses routes endommagées par les intempéries
Sur le terrain, avec le gouvernement, le nouveau ministre de l’Equipement, Luc Faatau, a établi un constat relatif aux dégâts occasionnés. Pas de chiffres pour l’instant.
Les routes autour de l'île n'ont subi presque aucun dommage, inondations mises à part. Seule la route du Taharaa, bien que dégagée, n’est toujours pas rouverte. Le maire de Arue, Philip Schyle, doute qu’elle ne soit suffisamment sécurisée.
Ce sont les routes pénétrant à l'intérieur des vallées qui ont payé le plus lourd tribu. Le gouvernement ne sait toujours pas à combien se montent les dégâts. Beaucoup de routes étaient sous la boue ou les éboulements. Celles-ci sont à présent dégagées. Certaines ont perdu une partie du bitume qui les habillaient, laissant apparaitre des nids de poules. D'autres encore sont partiellement détruites, comme l'explique Oscar Temaru, maire de Faa'a.
Dans un communiqué diffusé lundi soir, la présidence indique que la circulation publique sur les voies territoriales est rétablie et ouverte sur toute l’île de Tahiti :
Hormis sur deux points, qui sont :
- à Punaauia, au niveau du pont de Matatia (RT1), circulation fermée en raison de l’effondrement du pont.
- à Arue, au niveau de la montée de la route du Tahara’a, (sens Arue-Mahina), avec un dispositif particulier de circulation, en raison des mesures de sécurisation et de contrôle qui sont actuellement en cours de finalisation.