180 640 électeurs doivent se rendre aux urnes ce weekend en Nouvelle-Calédonie. Ils devront se prononcer pour la deuxième fois pour ou contre l’indépendance. Le premier scrutin avait vu la victoire du Non d’une courte tête.
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Dernière semaine avant le referendum pour ou contre l’indépendance en Nouvelle-Calédonie, une élection que beaucoup de calédoniens vivant sur le territoire vivent à distance comme Didier Wamitan. Ce kanak résident au fenua prend régulièrement des nouvelles du pays par l’intermédiaire de sa fille toujours sur le caillou, celui-ci nous explique que malgré une situation politique tendue, la population vit ces derniers jours avant la date butoir de manière plutôt calme.
Le référendum sur l'indépendance de la Nouvelle-Calédonie est un référendum d'autodétermination organisé dans le cadre de l'accord de Nouméa. Il s'agit du troisième référendum sur l'indépendance de la Nouvelle-Calédonie Nouvelle-Calédonie, après celui organisé en 1987 et celui de 2018.
Le scrutin de 2018 — marqué par une forte participation (81,01 %) — a vu les votants répondre « non » à 56,67 % à la proposition d'indépendance. Les résultats renouvellent le constat d'une importante disparité entre les votes des deux principales communautés, kanak et européennes, tandis que 17 % des électeurs vivant dans l'archipel sont exclus du scrutin, en accord avec les listes établies par l'accord de Nouméa. Dans un contexte de forte participation le « non » obtient un score moins important que prévu par les sondages.
Les anti-indépendantistes espéraient une large victoire du « non » afin de voir annulée la tenue des deuxième et troisième référendums prévus par l’accord de Nouméa4. Les résultats font en outre apparaître une fracture territoriale et sociologique importante5. En effet, Nouméa et la province
Sud, la plus riche, concentrent le vote pour le non à plus de 75 %. Si le vote indépendantiste obtient un résultat plus important que prévu, il n'effectue pas de percée, mais est lié à une bonne mobilisation de l'électorat indépendantiste, attribuée à la campagne unitaire des deux courants du FLNKS !
Source: Wikipedia
Autre résident, Jean-Marie Biret, né d’une mère tahitienne et d’un père caldoche ne votera pas non plus dimanche. Lui ne se prononce pas sur sa préférence.Je suis confiant pour le oui […]il suffit de prendre l’exemple du vanuatu et ce sera le bon chemin
C’est à eux de choisir et tous ce que je leur souhaite c’est de recevoir les résultats comme ils seront et de construire quelques chose ensemble ils n’auront pas d’autre choix
Le référendum sur l'indépendance de la Nouvelle-Calédonie est un référendum d'autodétermination organisé dans le cadre de l'accord de Nouméa. Il s'agit du troisième référendum sur l'indépendance de la Nouvelle-Calédonie Nouvelle-Calédonie, après celui organisé en 1987 et celui de 2018.
Le scrutin de 2018 — marqué par une forte participation (81,01 %) — a vu les votants répondre « non » à 56,67 % à la proposition d'indépendance. Les résultats renouvellent le constat d'une importante disparité entre les votes des deux principales communautés, kanak et européennes, tandis que 17 % des électeurs vivant dans l'archipel sont exclus du scrutin, en accord avec les listes établies par l'accord de Nouméa. Dans un contexte de forte participation le « non » obtient un score moins important que prévu par les sondages.
Les anti-indépendantistes espéraient une large victoire du « non » afin de voir annulée la tenue des deuxième et troisième référendums prévus par l’accord de Nouméa4. Les résultats font en outre apparaître une fracture territoriale et sociologique importante5. En effet, Nouméa et la province
Sud, la plus riche, concentrent le vote pour le non à plus de 75 %. Si le vote indépendantiste obtient un résultat plus important que prévu, il n'effectue pas de percée, mais est lié à une bonne mobilisation de l'électorat indépendantiste, attribuée à la campagne unitaire des deux courants du FLNKS !
Source: Wikipedia