Il est l'un des groupes les plus représentatifs du Heiva. O Tahiti E, dirigé par les mains de maître de Marguerite Lai, participe une nouvelle fois au Heiva. Cette année, elle propose avec son groupe une invitation à se saisir du souffle de vie. La part d'héritage qui ne doit pas mourir. Reportage
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O Tahiti E, c'est une question de souffle... Et, Marguerite Lai avec sa longue trajectoire n'en manque point. Cinquante ans que cette artiste participe au Heiva avec un objectif : préserver la tradition. Cette année, elle propose avec son groupe une invitation à se saisir du souffle de vie. La part d'héritage qui ne doit pas mourir.
Un thème opportun pour la cheffe de troupe qui ne cache pas son mécontentement face à la nouvelle réglementation du Heiva 2019. "Nous étions là bien avant que le conservatoire se mette en place ! (...) Si c’est ça le Heiva, alors qu’on n’arrête tout ! Autant que je rentre dans mon île ! [ndlr : Rangiroa]". Selon la cheffe du groupe O Tahiti E, qui participe au concours du Heiva de cette année en catégorie professionnelle Hura Tau, pas question d’appliquer à la lettre le nouveau règlement qui exigerait d’utiliser la nomenclature des pas du conservatoire.
Un thème opportun pour la cheffe de troupe qui ne cache pas son mécontentement face à la nouvelle réglementation du Heiva 2019. "Nous étions là bien avant que le conservatoire se mette en place ! (...) Si c’est ça le Heiva, alors qu’on n’arrête tout ! Autant que je rentre dans mon île ! [ndlr : Rangiroa]". Selon la cheffe du groupe O Tahiti E, qui participe au concours du Heiva de cette année en catégorie professionnelle Hura Tau, pas question d’appliquer à la lettre le nouveau règlement qui exigerait d’utiliser la nomenclature des pas du conservatoire.