Après les syndicats il y a quelques jours, c'était au tour des organisations patronales d'être reçues lundi matin à la présidence, à l'occasion des voeux. Rituel qui a permis à Edouard Fritch d'exposer de nouveau sa stratégie économique pour 2015. Le patron du MEDEF semble satisfait.
Selon Olivier Kressmann, "nous sommes derrière ce gouvernement, nous le soutenons dans ses démarches, nous sommes conscients que la tâche est difficile. Edouard Fritch n'est pas au pouvoir depuis longtemps. C'est compliqué. Il y a beaucoup de choses à mettre en place en même temps. Mais le monde économique est confiant".
- Pour vous, cette année, ce sera quoi la clé de la relance ?
"On la connait tous la clé. C'est le fait de permettre de recréer de l'emploi, de redynamiser l'économie. Donc, trouver toutes les façons de le faire. Une réflexion sur le Code du Travail en fait partie mais ce n'est pas la solution unique. Une réflexion sur la relance des investissements également. Il ne faut pas s'arrêter qu'aux grands projets. Il faut aussi s'intéresser aux projets plus restreints. Et nous sommes tous derrière cette même dimension".
- Est-ce qu'aujourd'hui vous avez entendu une vraie stratégie de développement ?
"Oui, on a entendu un chef d'entreprise à la barre d'un Pays qui s'appelle la Polynésie Française, et qui nous a parlé clairement de ses difficultés, et de la nécessité du temps qu'il lui faut pour faire avancer les choses, et nous le savons bien: en économie, il n'y a pas de claquement de doigts. Quand on est dans des moments difficiles, quelque soit l'entreprise, on est en situation de réfléchir pour savoir ce qu'il faut changer. Pour cela, il faut un peu de temps. Il faut agir, ne pas faire n'importe quoi. Aujourd'hui, il y a urgence".
- Est-ce qu'il faut attendre le moyen terme: 2 ans, pour atteindre ces objectifs ?
"Non je pense que dès cette année, si les choses se déroulent comme on l'espère - vous savez l'économie n'est pas une science inscrite dans le marbre -, on devrait voir des éléments forts et concrets se mettre en place. C'est ce qu'on attend en tous cas pour la fin du 1er semestre 2015 !"
Rencontre Fritch / Patronat
- Pour vous, cette année, ce sera quoi la clé de la relance ?
"On la connait tous la clé. C'est le fait de permettre de recréer de l'emploi, de redynamiser l'économie. Donc, trouver toutes les façons de le faire. Une réflexion sur le Code du Travail en fait partie mais ce n'est pas la solution unique. Une réflexion sur la relance des investissements également. Il ne faut pas s'arrêter qu'aux grands projets. Il faut aussi s'intéresser aux projets plus restreints. Et nous sommes tous derrière cette même dimension".
- Est-ce qu'aujourd'hui vous avez entendu une vraie stratégie de développement ?
"Oui, on a entendu un chef d'entreprise à la barre d'un Pays qui s'appelle la Polynésie Française, et qui nous a parlé clairement de ses difficultés, et de la nécessité du temps qu'il lui faut pour faire avancer les choses, et nous le savons bien: en économie, il n'y a pas de claquement de doigts. Quand on est dans des moments difficiles, quelque soit l'entreprise, on est en situation de réfléchir pour savoir ce qu'il faut changer. Pour cela, il faut un peu de temps. Il faut agir, ne pas faire n'importe quoi. Aujourd'hui, il y a urgence".
- Est-ce qu'il faut attendre le moyen terme: 2 ans, pour atteindre ces objectifs ?
"Non je pense que dès cette année, si les choses se déroulent comme on l'espère - vous savez l'économie n'est pas une science inscrite dans le marbre -, on devrait voir des éléments forts et concrets se mettre en place. C'est ce qu'on attend en tous cas pour la fin du 1er semestre 2015 !"