Le salon « Made In Fenua » a ouvert ses portes jeudi matin place To’ata. Quatre jours durant environ cent exposants sont invités à dévoiler leur savoir faire.
A l’occasion de la 16e édition du salon « Made in fenua » place Toata, les organisateurs se sont montrés particulièrement pointilleux quant au concept de fabrication locale. Ils n’ont pas hésité à exclure plusieurs commerçants. Leur objectif consiste à mettre en valeur le travail des entreprises polynésiennes.
Brigitte Olivier / Christian Deso
100 Artisans présentent leurs créations , toutes conçues et assemblées à Tahiti , mais dont les composants peuvent être importés. Cette année, la CCISM a décidé d’échapper à toute polémique et donc n’accepte au salon » Made In Fenua » que des artisans locaux qui fabriquent des produits locaux.
Mais voila, en matière d’artisanat, pas toujours évident de garantir que toutes les pièces sont fabriquées localement. C’est le cas notamment pour les bijoutiers qui font venir leurs fermoirs, ou certains apprêts d’Europe . Ces composants du bijou sont ensuite ornés de perles locales ou de coquillages ou nacres récoltés en Polynésie .
Pareil pour les robes et autres tifaifai : l’inspiration est nettement locale , les motifs aussi, mais comme le rappellent les organisateurs du salon, le tissu est importé.
Un fabriquant de planches expose également ses paddle et ses surfs, personnalisables à la demande. Ils sont fabriqués ici , mais en fibre de verre importée.
La nuance est donc difficile à saisir…. Et c’est là que l’appellation du salon prend tout son sens.
Il ne s’agit pas d’exposer des produits 100% locaux mais dont on peut dire qu’ils illustrent le savoir- faire et le label : »fait à Tahiti » . Le salon se divise en plusieurs parties : l’artisanat , le textile, la bijouterie, la littérature , la cosmétique , le mobilier, et l’agroalimentaire .
Seul domaine où le 100% local est garanti avec la désormais incontournable farine de uru. Le salon fermera ses portes le dimanche 1er mai dans l’après midi.
100 Artisans présentent leurs créations , toutes conçues et assemblées à Tahiti , mais dont les composants peuvent être importés. Cette année, la CCISM a décidé d’échapper à toute polémique et donc n’accepte au salon » Made In Fenua » que des artisans locaux qui fabriquent des produits locaux.
Mais voila, en matière d’artisanat, pas toujours évident de garantir que toutes les pièces sont fabriquées localement. C’est le cas notamment pour les bijoutiers qui font venir leurs fermoirs, ou certains apprêts d’Europe . Ces composants du bijou sont ensuite ornés de perles locales ou de coquillages ou nacres récoltés en Polynésie .
Pareil pour les robes et autres tifaifai : l’inspiration est nettement locale , les motifs aussi, mais comme le rappellent les organisateurs du salon, le tissu est importé.
Un fabriquant de planches expose également ses paddle et ses surfs, personnalisables à la demande. Ils sont fabriqués ici , mais en fibre de verre importée.
La nuance est donc difficile à saisir…. Et c’est là que l’appellation du salon prend tout son sens.
Il ne s’agit pas d’exposer des produits 100% locaux mais dont on peut dire qu’ils illustrent le savoir- faire et le label : »fait à Tahiti » . Le salon se divise en plusieurs parties : l’artisanat , le textile, la bijouterie, la littérature , la cosmétique , le mobilier, et l’agroalimentaire .
Seul domaine où le 100% local est garanti avec la désormais incontournable farine de uru. Le salon fermera ses portes le dimanche 1er mai dans l’après midi.