Lundi 11 novembre 2019, plus de 200 personnes ont manifesté à Paea pour dire non au tracé de la route du Sud proposé par le gouvernement. Il s'agit de la deuxième marche de protestation organisée par l’Église protestante ma’ohi.
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Lundi 11 novembre 2019, dès 8h00, plus de 200 personnes ont manifesté à Paea pour dire non au tracé de la route du Sud proposé par le gouvernement. Il s'agit de la deuxième marche de protestation organisée par l’Église protestante ma’ohi..
Des dirigeants de la mairie, tels que des adjoints au maire, se sont joint au cortège partant de deux endroits pour arriver en même temps à l’hôtel de ville de la commune.
Parmi les manifestants, certains ont construit il y a 10 ans, avec autant de souvenirs vécus avec leurs enfants ils ne veulent pas partir.
Les organisateurs de la manifestation ont rencontré, il y a quelques jours, le ministre René Temeharo. Avant le début des travaux, des études doivent être réalisées l’an prochain. De quoi apaiser les manifestants jusqu’aux prochaines élections communales.
Ce dossier sensible était plus ou moins remisé au placard depuis la défaite de son instigateur, Gaston Flosse, en 2004. Initialement baptisé Te Ara nui, le tracé revu et corrigé passerait au pied de la montagne et entraînerait un chantier pharaonique et des centaines d'expropriations. A Paea, une bonne part de la population y est absolument opposée.
Des dirigeants de la mairie, tels que des adjoints au maire, se sont joint au cortège partant de deux endroits pour arriver en même temps à l’hôtel de ville de la commune.
Parmi les manifestants, certains ont construit il y a 10 ans, avec autant de souvenirs vécus avec leurs enfants ils ne veulent pas partir.
Les organisateurs de la manifestation ont rencontré, il y a quelques jours, le ministre René Temeharo. Avant le début des travaux, des études doivent être réalisées l’an prochain. De quoi apaiser les manifestants jusqu’aux prochaines élections communales.
Ce dossier sensible était plus ou moins remisé au placard depuis la défaite de son instigateur, Gaston Flosse, en 2004. Initialement baptisé Te Ara nui, le tracé revu et corrigé passerait au pied de la montagne et entraînerait un chantier pharaonique et des centaines d'expropriations. A Paea, une bonne part de la population y est absolument opposée.