Jugés sur deux jours, une vingtaine de prévenus comparaissaient pour un vaste trafic de paka entre Tahiti et les Iles-Sous-le-Vent. Hier, le tribunal a prononcé des peines de 1 à 7 ans de prison ferme, selon l'implication des prévenus.
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Le tribunal correctionnel a prononcé, mercredi 12 avril, des peines de 3 à 7 ans de prison ferme avec mandat de dépôt, pour les plus sévères. Vingt prévenus comparaissaient à la barre dans le cadre de ce trafic de cannabis qui s'était peu à peu mis en place entre les producteurs de la Presqu'ile de Tahiti et les revendeurs de Faa'a, entre les années 2010 et 2014. Puis, avec les Iles-sous-le-Vent.
Après deux jours de procès, le "boss" de la presqu'île, comme le surnommaient les revendeurs, a écopé de la plus lourde peine : 7 ans de prison ferme. Il est actuellement en détention provisoire pour une autre affaire, de trafic d'ice cette fois. 6 ans de prison ferme pour "le boss" des Iles-sous-le-Vent. Les autres prévenus ont écopé de peines allant de 1 à 5 ans de prison, parfois avec sursis, avec des peines plus légères pour les revendeurs qui avaient reconnu les faits à la barre. Sur les vingt prévenus, onze sont repartis directement à Nuutania.
La Cour a donc suivi les réquisitions du procureur. Certains condamnés avaient un casier judiciaire vierge. Mais la justice a voulu frapper fort, car le trafic de paka en alimente un autre, encore plus destructeur : la methamphétamine (ice).
Après deux jours de procès, le "boss" de la presqu'île, comme le surnommaient les revendeurs, a écopé de la plus lourde peine : 7 ans de prison ferme. Il est actuellement en détention provisoire pour une autre affaire, de trafic d'ice cette fois. 6 ans de prison ferme pour "le boss" des Iles-sous-le-Vent. Les autres prévenus ont écopé de peines allant de 1 à 5 ans de prison, parfois avec sursis, avec des peines plus légères pour les revendeurs qui avaient reconnu les faits à la barre. Sur les vingt prévenus, onze sont repartis directement à Nuutania.
La Cour a donc suivi les réquisitions du procureur. Certains condamnés avaient un casier judiciaire vierge. Mais la justice a voulu frapper fort, car le trafic de paka en alimente un autre, encore plus destructeur : la methamphétamine (ice).