Un exercice de lutte et d'intervention contre le terrorisme a été mené en grandeur réelle à bord de l'Aranui V.
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Mardi 26 septembre à Papeete, dans le cadre de la formation spécifique en intervention spécialisée des personnels de l’Antenne du Groupe d’Intervention de la Gendarmerie Nationale (AGIGN) de Polynésie française, un exercice d’instruction au contre terrorisme Maritime a été réalisé.
Cette mise en situation s’est déroulée dans l’enceinte du Port Autonome de Papeete à Fare Ute sur l'Aranui 5.
Le scénario retenu était une prise d’otages d’une vingtaine de passagers par cinq terroristes lourdement armés. Des engins explosifs ont été retrouvés à bord du navire dont deux placés sur les otages.
Cette séance vise à maintenir les acquis des personnels de l’AGIGN de Papeete en matière de contre terrorisme maritime et à coordonner l’action de différentes unités militaires et civiles.
Elle a mobilisé une cinquantaine de militaires et plusieurs unités de la gendarmerie telles que le peloton de surveillance et d’intervention (PSIG), l’équipe cynophile avec deux maîtres-chiens, la brigade nautique et le détachement de surveillance et d’intervention (DSI) composé de militaires de l’escadron de gendarmerie mobile d’Aurillac détaché pour emplois à Papara et Taravao.
Une équipe NEDEX (Neutralisation, Enlèvement et Destructions des Engins Explosifs), des secouristes, le SAMU, quelques employés du navire Aranui 5 ainsi qu’une vingtaine d’élèves du Centre des Métiers de la Mer, qui ont joué le rôle d’otages pour l’occasion, ont également participé à l’exercice.
Cette mise en situation s’est déroulée dans l’enceinte du Port Autonome de Papeete à Fare Ute sur l'Aranui 5.
Le scénario retenu était une prise d’otages d’une vingtaine de passagers par cinq terroristes lourdement armés. Des engins explosifs ont été retrouvés à bord du navire dont deux placés sur les otages.
Cette séance vise à maintenir les acquis des personnels de l’AGIGN de Papeete en matière de contre terrorisme maritime et à coordonner l’action de différentes unités militaires et civiles.
Elle a mobilisé une cinquantaine de militaires et plusieurs unités de la gendarmerie telles que le peloton de surveillance et d’intervention (PSIG), l’équipe cynophile avec deux maîtres-chiens, la brigade nautique et le détachement de surveillance et d’intervention (DSI) composé de militaires de l’escadron de gendarmerie mobile d’Aurillac détaché pour emplois à Papara et Taravao.
Une équipe NEDEX (Neutralisation, Enlèvement et Destructions des Engins Explosifs), des secouristes, le SAMU, quelques employés du navire Aranui 5 ainsi qu’une vingtaine d’élèves du Centre des Métiers de la Mer, qui ont joué le rôle d’otages pour l’occasion, ont également participé à l’exercice.