La mise en place d'un couvre-feu de 21 h à 4h depuis samedi soir, n'a pas changé les horaires d'ouvertures habituelles du marché de Papeete. Mais la situation reste tout de même très frustrante pour les vendeurs, le constat est presque unanime, les temps sont durs et les clients moins nombreux.
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Le couvre-feu n’y a rien changé. Les vendeurs venus des districts éloignés ont passé la nuit sur place, afin d’être prêts à accueillir la clientèle avant l’aube. Pendant la nuit, ils ont croisé moins de jeunes en balade, mais pour le reste rien d’autre à signaler.
A 6 heures, les allées du marché restent inhabituellement clairsemées pour un dimanche. Le pua roti mis à part, les autres stands ont du mal à attraper les clients, la crise économique liée au covid est passée par là.
Des changements de comportements liés au manque d’argent semblent conduire de plus en plus de gens à improviser des stands en bord de route. Le marché se voit concurrencer et pas mal d’habitués du dimanche ne reviennent plus.
Une petite vente et un sourire qui cachent difficilement une demande en forte baisse également côté fleurs. Tout le monde cherche à garder la tête hors de l’eau, l’offre existe mais la demande semble en berne. Difficile de savoir si le marché reflète exactement l’état général de l’économie, mais le constat n’est pas rassurant.
A 6 heures, les allées du marché restent inhabituellement clairsemées pour un dimanche. Le pua roti mis à part, les autres stands ont du mal à attraper les clients, la crise économique liée au covid est passée par là.
Des changements de comportements liés au manque d’argent semblent conduire de plus en plus de gens à improviser des stands en bord de route. Le marché se voit concurrencer et pas mal d’habitués du dimanche ne reviennent plus.
Une petite vente et un sourire qui cachent difficilement une demande en forte baisse également côté fleurs. Tout le monde cherche à garder la tête hors de l’eau, l’offre existe mais la demande semble en berne. Difficile de savoir si le marché reflète exactement l’état général de l’économie, mais le constat n’est pas rassurant.
Le marché de Papeete s'adapte au couvre-feu