La grève dans le groupe La Dépêche a commencé il y a un peu plus de trois mois. Un mouvement qui perdure, malgré la mise en liquidation judiciaire de la rotative du quotidien.
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Le piquet de grève est maintenant occupé en permanence avec une rotation de trois équipes de grévistes.
Parmi eux se trouvent encore une dizaine de grévistes de toutes les entreprises du groupe, qui sont : la Société d’information et de communication, la Régie polynésienne de publicité et la Centrale tahitienne de distribution qui assure l'acheminement du journal aux revendeurs et aux abonnés.
De plus, les 12 salariés de la rotative du quotidien mise en liquidation judiciaire le 26 mars dernier ne sont toujours pas résignés et restent actifs dans le conflit. Depuis le coup de tonnerre de cette mise en liquidation, plus d'un mois a passé. Aucune nouvelle rencontre n'a eu lieu entre les grévistes et la direction, et la grève a été maintenue.
Prochain rendez-vous au tribunal le 11 juin
Le prochain rendez-vous judiciaire pour ce conflit social aura lieu le 11 juin au tribunal de commerce de Papeete. Cette fois c'est la CPS qui attaque l'entreprise en difficulté. Le groupe La Dépêche de Tahiti doit effectivement près de 90 millions de francs de dette à la Caisse de Prévoyance Sociale. En plus des 22 millions de francs des dettes sociales de la rotative qui seront réglés lors de la liquidation de cette entreprise spécifique.
Parmi eux se trouvent encore une dizaine de grévistes de toutes les entreprises du groupe, qui sont : la Société d’information et de communication, la Régie polynésienne de publicité et la Centrale tahitienne de distribution qui assure l'acheminement du journal aux revendeurs et aux abonnés.
De plus, les 12 salariés de la rotative du quotidien mise en liquidation judiciaire le 26 mars dernier ne sont toujours pas résignés et restent actifs dans le conflit. Depuis le coup de tonnerre de cette mise en liquidation, plus d'un mois a passé. Aucune nouvelle rencontre n'a eu lieu entre les grévistes et la direction, et la grève a été maintenue.
Prochain rendez-vous au tribunal le 11 juin
Le prochain rendez-vous judiciaire pour ce conflit social aura lieu le 11 juin au tribunal de commerce de Papeete. Cette fois c'est la CPS qui attaque l'entreprise en difficulté. Le groupe La Dépêche de Tahiti doit effectivement près de 90 millions de francs de dette à la Caisse de Prévoyance Sociale. En plus des 22 millions de francs des dettes sociales de la rotative qui seront réglés lors de la liquidation de cette entreprise spécifique.
Trois mois de grève à La Dépêche e Tahiti