Le CESC s'est prononcé jeudi matin par 47 voix contre et 4 abstentions contre la loi de pays instituant, entre autre, un salaire minimum de développement mensuel de 120 000 francs dans le cadre de la zone franche du projet Mahana beach.
Le Conseil Economique social et Culturel déclare pleinement adhérer au principe d'un retour à l'emploi mais considère que les six mesures proposées portent atteinte au dialogue social et aux droits des salariés. Joël Carillo, rapporteur du CESC
Joël Carillo, rapporteur du CESC