Le média historique est en mode « survie ». Le tribunal mixte de commerce lui laisse jusqu’au 28 janvier 2019 pour présenter un plan de continuation.
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Le 28 janvier 2019, le tribunal validera ou non le plan de continuation visant à la sauvegarde de la société qui lui sera présenté. Il s’agit de maintenir l'activité et de mettre en place un calendrier d’apurement des dettes. S’il est validé, il sera soumis aux créanciers qui auront 30 jours pour donner leur avis.
Un quarantaine de personnes travaille aujourd’hui pour le quotidien
Si le plan de sauvegarde est accepté, l’entreprise pourra régler ses dettes en respectant un échéancier tout en maintenant son activité. Par contre, si la situation ne s’améliore pas, la justice pourrait prononcer la liquidation judiciaire.
Le 11 juin 2018, à la demande de la Caisse de Prévoyance Sociale (CPS), une procédure de redressement judiciaire a été lancée à l’encontre de la Dépêche de Tahiti. En cause : 90 millions de francs de cotisations sociales non-payées. Mais plusieurs créanciers réclament aussi de l’argent à la Dépêche de Tahiti. Des dettes qui s’élèvent à des montants compris entre 500 millions (selon TNTV) à 750 millions de francs CP( selon Tahiti-Infos).
La déléguée syndicale O oe to oe rima était présente à l’audience. Voilà ce qu’elle en a retenu. Jennifer Rofès :
Un quarantaine de personnes travaille aujourd’hui pour le quotidien
Si le plan de sauvegarde est accepté, l’entreprise pourra régler ses dettes en respectant un échéancier tout en maintenant son activité. Par contre, si la situation ne s’améliore pas, la justice pourrait prononcer la liquidation judiciaire.
Le 11 juin 2018, à la demande de la Caisse de Prévoyance Sociale (CPS), une procédure de redressement judiciaire a été lancée à l’encontre de la Dépêche de Tahiti. En cause : 90 millions de francs de cotisations sociales non-payées. Mais plusieurs créanciers réclament aussi de l’argent à la Dépêche de Tahiti. Des dettes qui s’élèvent à des montants compris entre 500 millions (selon TNTV) à 750 millions de francs CP( selon Tahiti-Infos).
La déléguée syndicale O oe to oe rima était présente à l’audience. Voilà ce qu’elle en a retenu. Jennifer Rofès :
Jennifer Rofes
Pas de liquidation judiciaire pour La Dépêche de Tahiti