Les ‘’petits partis’’ peinent à exister

Les ‘’petits partis’’ peinent à exister
Aux côtés des trois locomotives qualifiées pour le second tour, les ‘’petits partis’’ ne parviennent pas à émerger.
Trois formations politiques ne disposant pas d’assises communales ni d’appareil structuré se sont lancées cette année à l’assaut des territoriales.

Aucune des trois n’est parvenue à obtenir 5% des suffrages exprimés, synonymes de possibilité de fusion avec l’une des listes qualifiée.

Le Te ora api o porinetia emmené par le président de l’Assemblée Marcel Tuihani se présentait pour la première fois au suffrage des électeurs. La liste blanche obtient un score honorable en totalisant 4 606 voix, soit 3.69% des suffrages exprimés.

La formation E reo manahune, transfuge de l’UPLD, n’est pas parvenue à convaincre. Tauhiti Nena recueille 2 503 voix, soit 2% des suffrages.

La liste « Dignité bonheur » de Jérôme Gasior ferme la marche avec 1 441 voix représentant 1.15% des votes.

Les ‘’petits partis’’ peinent à exister
Les ‘’petits partis’’ peinent à exister