Rien ne va plus entre les organisateurs de courses de chevaux à Pirae et certains éleveurs. Ces derniers déclarent qu’ils ne sont plus assurés alors que les organisateurs prétendent le contraire.
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C’est par courrier électronique que Tamatoa Lotte, éleveur de chevaux, a appris la nouvelle il y a 48 heures. Pourtant, il recevait un autre message annonçant la deuxième journée de courses hippiques de l’Association Hippique et d’Encouragement à l’Élevage.
Ces éleveurs ont appris qu’ils ne sont plus assurés depuis le début des courses de chevaux. Quatre propriétaires ont donc décidé de ne plus participer aux diverses manifestations hippiques.
Du côté de l’AHEE, c’est son président Pierre Izal qui affirme que le problème est réglé depuis vendredi dernier et qu’une structure du fenua a accepté de les assurer. Celle-ci couvre le jockey et le driveur, c’est l’assurance responsabilité civile. Problème, chaque cavalier doit souscrire sa propre assurance.
Ces éleveurs ont appris qu’ils ne sont plus assurés depuis le début des courses de chevaux. Quatre propriétaires ont donc décidé de ne plus participer aux diverses manifestations hippiques.
Du côté de l’AHEE, c’est son président Pierre Izal qui affirme que le problème est réglé depuis vendredi dernier et qu’une structure du fenua a accepté de les assurer. Celle-ci couvre le jockey et le driveur, c’est l’assurance responsabilité civile. Problème, chaque cavalier doit souscrire sa propre assurance.
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