Les 4 "distilleurs" de rhum de Polynésie regroupés en syndicat depuis quelques mois, veulent lancer une IGP.
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Une Indication Géographique Protégée dont le but est de mieux défendre et aussi mieux valoriser le rhum produit à partir de canne à sucre locale.
Pour David Moux, producteur de canne à sucre et rhum depuis 40 ans, l’IGP est une nécessité afin de différencier le rhum polynésien des autres. Le spiritueux local, plus doux qu’ailleurs, est plus apprécié lorsqu’il est adouci grâce aux fruits du terroir. Vanille, ananas, fruit de la passion, entre autre.
Le syndicat vise également le développement de la filière, notamment en aidant les cultivateurs de canne à sucre.
Ambitieux, le président du syndicat des distilleurs de rhum souhaite un développement de la filière, à l’image des Antilles, toutes proportions gardées.
Ces dernières possèdent 15.000 hectares de canne à sucre. Pour la Polynésie Française, il rêve, d’ici 20 ans, de 1.000 hectares.
Pour David Moux, producteur de canne à sucre et rhum depuis 40 ans, l’IGP est une nécessité afin de différencier le rhum polynésien des autres. Le spiritueux local, plus doux qu’ailleurs, est plus apprécié lorsqu’il est adouci grâce aux fruits du terroir. Vanille, ananas, fruit de la passion, entre autre.
Le syndicat vise également le développement de la filière, notamment en aidant les cultivateurs de canne à sucre.
Ambitieux, le président du syndicat des distilleurs de rhum souhaite un développement de la filière, à l’image des Antilles, toutes proportions gardées.
Ces dernières possèdent 15.000 hectares de canne à sucre. Pour la Polynésie Française, il rêve, d’ici 20 ans, de 1.000 hectares.