Tous mobilisés pour la grève de ce jeudi 17 mars, c'est le mot d'ordre des syndicats : CGT, UNSA Education, UNSA fonction publique, A ti'a i mua , O oe to oe rima et UNSA fenua.
Un mouvement qui aura lieu un jour après la grève nationale prévue le 16 mars. Dans un communiqué, l’intersyndicale évoque toutefois des motifs liés à des problématiques locales :
● le rejet d’une taxe supplémentaire appelée « TVA sociale » qui va aggraver encore la cherté de la vie ;
● la demande d’un bilan d’utilisation de la CST créée en 1995 et l’engagement d’un retour progressif de la CST aux taux précédents après une période fixée ;
● le gel de l’ITR et la mise en place d’un dispositif de compensation pour partir à la retraite
Dimitri Pitoeff, membre du conseil d'orientation et de suivi des retraites et du syndicat A ti'a i mua, dénonce "la situation économique n'est pas bonne et la contribution pour la solidarité va augmenter les prix". Ce qui selon lui, mettra plus de 80% des ménages en difficulté.