La tour dédiée aux caméras de la WSL pour suivre la compétition de surf qui débute dès ce week-end, est prête depuis plusieurs jours. La Shiseido Tahiti Pro se déroulera dans les conditions habituelles.
C’est la compétition-test avant les Jeux Olympiques de 2024. Les 5 chapiteaux, pour recevoir les athlètes et l’équipe médicale, sont montés. Il en faudra 20 pour les JO.
La nouveauté cette année, c’est une "baignoire en plastique, maintenant il faut qu'ils [les surfeurs] aillent dans de l'eau glacée pour se détendre", explique Philippe Klima, président de la commission des compétitions.
Quant aux water-patrols, les sauveteurs aquatiques, leur effectif passera de 14 pour la Shiseido à 23 lors des JO, et les jet-skis au nombre de 10 actuellement seront 16 l’an prochain. "Il va y avoir une exigence pour l'ensemble des water-patrols, en termes de diplômes, de formation, une nouvelle formation sera exigée qui est le SSA, avec un module supplémentaire, le module récif, spécialement dédié à Teahupoo", précise Pascal Luciani, manager sportif de la Shiseido Tahiti Pro 2023.
Les sauveteurs qui devront être formés avant le mois de mars prochain. Il faudra également 20 bateaux au lieu des 5 habituels pour transporter les athlètes et les équipes techniques sur le plan d’eau.
Une fun zone sera également aménagée pour recevoir 300 à 500 personnes. Elle sera agrémentée d’un écran géant. Enfin, une tour en aluminium de 547 millions cfp sera installée à côté de celle en bois.