Le triathlète est actuellement en France pour disputer le Grand Prix de la FFTri, la Fédération Française de Triathlon, sur ces 3 semaines.
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Il fait partie du club de La Rochelle Triathlon qui évolue en deuxième division et qui ambitionne la montée en première, techniquement, il faudrait faire partie des 3 premiers clubs à l’issue des 3 étapes.
Cette année les courses se tiennent sur :
- Châteauroux (22 aout)
- St Pierre d’Albigny (30 aout)
- Quiberon (5 septembre)
Au vu des circonstances, les montées et descentes du championnat sont gelées, ce qui n’empêche pas les clubs de divisions inférieures de motiver ses membres pour montrer que l’objectif était bien la montée.
La première étape s’est plutôt bien passée pour Benjamin Zorgnotti avec une 11eme place individuelle et une 3eme place par équipe. Il sort 4eme mais rate la petite échappée de 3 athlètes qu’il ne rattrapera jamais.
S’en suit le reste des 20km de vélo à rouler en économisant des cartouches pour la course à pied pour le tahitien. Après une bonne transition il sort à nouveau 4eme du parc à vélo mais les jambes lui font défaut à mi-parcours.
Arrivé sur la course le vendredi dans l’après-midi suite à 30 heures de voyage, il a couru avec un jet lag que tous les sportifs locaux connaissent, donc, pas dans les meilleures conditions.
Cette année les courses se tiennent sur :
- Châteauroux (22 aout)
- St Pierre d’Albigny (30 aout)
- Quiberon (5 septembre)
Au vu des circonstances, les montées et descentes du championnat sont gelées, ce qui n’empêche pas les clubs de divisions inférieures de motiver ses membres pour montrer que l’objectif était bien la montée.
La première étape s’est plutôt bien passée pour Benjamin Zorgnotti avec une 11eme place individuelle et une 3eme place par équipe. Il sort 4eme mais rate la petite échappée de 3 athlètes qu’il ne rattrapera jamais.
S’en suit le reste des 20km de vélo à rouler en économisant des cartouches pour la course à pied pour le tahitien. Après une bonne transition il sort à nouveau 4eme du parc à vélo mais les jambes lui font défaut à mi-parcours.
Arrivé sur la course le vendredi dans l’après-midi suite à 30 heures de voyage, il a couru avec un jet lag que tous les sportifs locaux connaissent, donc, pas dans les meilleures conditions.