En moyenne, 24 personnes sont tuées sur nos routes cahque année. En 2018 les autorités s'attendent à pire compte tenu de l'hécatombe enregistrée depuis le 1er janvier.
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"On est à la moitié de ce qui se passe en une année", c'est le constat de Nino Bonis, le délégué à la sécurité routière auprès du procureur. Il y a deux raisons principales à ce constat selon Nino Bonis, c'est d'abord le facteur malchance, mais surtout, un relâchement au niveau du comportement des conducteurs. La prévention routière se résume pour lui en trois mots : répéter, répéter et répéter.
Il reconnaît que la prévention a atteint ses limites et qu'il faut une répression sévère.
Il reconnaît que la prévention a atteint ses limites et qu'il faut une répression sévère.
Il faut tout simplement respecter le code de la route. Le capitaine Sylvain Vigneux prône aussi une répression forte. L'officier adjoint en charge de la sécurité routière souligne des fautes de comportement ainsi que les facteurs alcool et stupéfiant qui restent pour lui, déterminants.
Dominique Bonis, directeur de la prévention routière
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