Le monde vit à crédit à partir d'aujourd'hui, mais en Polynésie c'est déjà le cas depuis plus d'un mois.
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L'humanité dilapide son capital et depuis aujourd'hui elle a épuisé ses réserves. En Polynésie c'est déjà le cas depuis le 30 mai. C'est à dire qu'elle consomme plus de ressources qu'elle n'en produit. En cause principalement, une certaine sur-consommation. Par exemple sur le Fenua : Les importations sont plus importantes que la production locale. Conséquence ? Une empreinte carbone de grande ampleur liée aux transports, bateaux ou avions.
Mais ce n'est pas une fatalité : une amélioration est possible. Les pouvoirs publics s'y emploient. Stéphane Ratinaud et Mirko vanfau se sont penchés sur la question dans le reportage ci-dessous.
Mais ce n'est pas une fatalité : une amélioration est possible. Les pouvoirs publics s'y emploient. Stéphane Ratinaud et Mirko vanfau se sont penchés sur la question dans le reportage ci-dessous.
La Polynésie vit à crédit depuis le 30 mai
Invité du journal : Jerry Biret , promoteur de Earth Hour en Polynesie