Près de 700 remblais gagnés sur le domaine maritime sont recensés en Polynésie française et seule la moitié d’entre eux sont en conformité avec une autorisation d'occupation temporaire du domaine public.
L’assemblée propose une loi de pays pour accorder une dérogation aux propriétaires afin qu'ils se mettent en règle. Le CESC s'est montré divisé sur la question , seize représentant ont voté pour treize sont contre et cinq se sont abstenu.
Terainui Hamblin Ellacott, membre du CESC est pour, Maxime Chan, vice président de la fédération des associations de protection de l'environnement est contre.
Terainui Hamblin Ellacott, membre du CESC est pour, Maxime Chan, vice président de la fédération des associations de protection de l'environnement est contre.
Pour ou contre la régularisation des remblais illégaux ?