Hier, l'histoire des deux enfants livrés à eux-mêmes au Japon, après un retard technique de l'appareil d'ATN, a fait le tour du fenua aussi vite qu'un avion de ligne. Si la compagnie reconnaît ses responsabilités, les passagers bénéficient aussi de droits dans ce genre de situation.
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Suite au retard du vol ATN de Tokyo de samedi, dans un communiqué la compagnie renouvelle ses excuses auprès des passagers pour les désagréments occasionnés et assume pleinement ses responsabilités. Une panne technique de l’avion et une pénurie de chambres d’hôtel sur les villes de Narita et Tokyo ont obligé les voyageurs à dormir dans l’aéroport. La compagnie a prévu des compensations pour les passagers, elle les invite à joindre ses services commerciaux au 40 46 03 03 ou par email.
ATN confirme également que les passagers UM n’ont pas été pris en charge correctement :
Retard, surbooking ou annulation de vol, c'est la hantise de tout voyageur. Depuis le 11 février 2004, pour les passagers des compagnies européennes, une loi précise leurs droits. Outre les rafraîchissements et la restauration, leur prise en charge va de deux appels téléphoniques, fax ou email à leur transfert et hébergement en hôtel en cas de nuitée sur place. En outre, ils ont droit à une indemnisation de plus de 70 000 cfp si le retard est de plus de trois heures et le vol de plus de 3 500km. Mais hors de l’Union européenne, ce sont les règles du pays qui s’appliquent :
Il existe également le droit international qui limite la responsabilité des compagnies aériennes à 600 000 cfp, pour un préjudice dû à un retard. Mais pas en cas de panne technique au Japon, la règlementation ne prévoit pas d’indemnisation. Cela est déterminé par les compagnies.
Pour faire appliquer ses droits, il faut donc contacter le service commercial du transporteur en mentionnant le règlement européen 261/2004. Sinon par internet, SAV fligth est un site gratuit mis en place par les compagnies aériennes.
Pour plus de détails, vous pouvez aller sur la page facebook Aviation Geeks Tahiti : https://www.facebook.com/AVgeeksTahiti?fref=ts
En cas de retard ou d’annulation de vol, de quelles indemnités peuvent bénéficier les voyageurs ? Quelles sont les obligations des compagnies aériennes dans pareilles circonstances ? Si le droit européen octroie jusqu’à 72 000 CFP d’indemnité, il ne s’applique pas dans le reste du monde. http://eur-lex.europa.eu/resource.html?uri=cellar:439cd3a7-fd3c-4da7-8bf4-b0f60600c1d6.0007.02/DOC_1&format=PDF
Vol TN77 : ATN assume ses responsabilités
ATN confirme également que les passagers UM n’ont pas été pris en charge correctement :
Retard, surbooking ou annulation de vol, c'est la hantise de tout voyageur. Depuis le 11 février 2004, pour les passagers des compagnies européennes, une loi précise leurs droits. Outre les rafraîchissements et la restauration, leur prise en charge va de deux appels téléphoniques, fax ou email à leur transfert et hébergement en hôtel en cas de nuitée sur place. En outre, ils ont droit à une indemnisation de plus de 70 000 cfp si le retard est de plus de trois heures et le vol de plus de 3 500km. Mais hors de l’Union européenne, ce sont les règles du pays qui s’appliquent :
Il existe également le droit international qui limite la responsabilité des compagnies aériennes à 600 000 cfp, pour un préjudice dû à un retard. Mais pas en cas de panne technique au Japon, la règlementation ne prévoit pas d’indemnisation. Cela est déterminé par les compagnies.
Pour faire appliquer ses droits, il faut donc contacter le service commercial du transporteur en mentionnant le règlement européen 261/2004. Sinon par internet, SAV fligth est un site gratuit mis en place par les compagnies aériennes.
Pour plus de détails, vous pouvez aller sur la page facebook Aviation Geeks Tahiti : https://www.facebook.com/AVgeeksTahiti?fref=ts
En cas de retard ou d’annulation de vol, de quelles indemnités peuvent bénéficier les voyageurs ? Quelles sont les obligations des compagnies aériennes dans pareilles circonstances ? Si le droit européen octroie jusqu’à 72 000 CFP d’indemnité, il ne s’applique pas dans le reste du monde. http://eur-lex.europa.eu/resource.html?uri=cellar:439cd3a7-fd3c-4da7-8bf4-b0f60600c1d6.0007.02/DOC_1&format=PDF