Ce vendredi 5 avril, une nouvelle pulvérisation contre les moustiques a eu lieu à Patutoa. En effet, dans le quartier plusieurs cas potentiels de dengue 2 ont été repérés. Le produit utilisé est la deltaméthrine, une composition qui interroge...
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Ce vendredi matin, les agents du centre d'hygiène et de salubrité publique sont entrés en action dans le quartier de Patutoa à Papeete, pour "démoustiquer" le lieu. C’est là en effet qu’ils ont observé cette semaine 13 cas de suspicion de dengue type 2. Une nouvelle pulvérisation sera menée lundi, et si besoin une autre la semaine prochaine.
Le produit utilisé pour ces pulvérisations s'appellent la deltaméthrine. La deltaméthrine est un composé chimique de la famille des pyréthrinoïdes. Elle est utilisée principalement comme insecticide et répulsif pour les insectes en raison de ses propriétés neurotoxiques. Selon le centre d'hygiène et de salubrité publique, ce produit est sans danger pour l'homme et surtout nocif pour les insectes. Son action est très brève. "Ca va être de l'ordre d'une demie-heure (...) Notre objectif est de tuer les moustiques porteurs de virus qui peuvent voler à ce moment là", explique Stéphane Loncke, entomologiste médical. Combinaison, masque, gants... Les agents en charge des pulvérisations sont pourtant eux très bien équipés. "On est plus exposé" confie Manuhiti Cowan, technicien sanitaire.
Le produit utilisé pour ces pulvérisations s'appellent la deltaméthrine. La deltaméthrine est un composé chimique de la famille des pyréthrinoïdes. Elle est utilisée principalement comme insecticide et répulsif pour les insectes en raison de ses propriétés neurotoxiques. Selon le centre d'hygiène et de salubrité publique, ce produit est sans danger pour l'homme et surtout nocif pour les insectes. Son action est très brève. "Ca va être de l'ordre d'une demie-heure (...) Notre objectif est de tuer les moustiques porteurs de virus qui peuvent voler à ce moment là", explique Stéphane Loncke, entomologiste médical. Combinaison, masque, gants... Les agents en charge des pulvérisations sont pourtant eux très bien équipés. "On est plus exposé" confie Manuhiti Cowan, technicien sanitaire.