Après les événements de jeudi 8 mars après midi à l’Assemblée la CPME, le MEDEF et la CSMGCTP prennent position. Ils condamnent fermement l’envahissement de l’hémicycle par les syndicats.
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Dans un communiqué envoyé aux rédactions la CPME a été la première à dégainer:
« La CPME de Polynésie française condamne avec la plus grande fermeté les actes de violences qui se sont déroulés aujourd’hui à l’Assemblée de Polynésie française. Il ne peut être question de bâillonner le dialogue et la démocratie en bloquant les institutions du Pays. La CPME de Polynésie française appelle les manifestants au calme et renvoie l’intersyndicale à ses responsabilités et au devoir qui est le sien, de maintenir l’ordre au sein du mouvement qu’elle a créé. »
Au cours d’une conférence de presse commune ce vendredi matin les 3trois organisations ont enfoncé le clou.
Interview d'Olivier Kressmann, président du MEDEF au micro de Miri Tumatariri:
« La CPME de Polynésie française condamne avec la plus grande fermeté les actes de violences qui se sont déroulés aujourd’hui à l’Assemblée de Polynésie française. Il ne peut être question de bâillonner le dialogue et la démocratie en bloquant les institutions du Pays. La CPME de Polynésie française appelle les manifestants au calme et renvoie l’intersyndicale à ses responsabilités et au devoir qui est le sien, de maintenir l’ordre au sein du mouvement qu’elle a créé. »
Au cours d’une conférence de presse commune ce vendredi matin les 3trois organisations ont enfoncé le clou.
Interview d'Olivier Kressmann, président du MEDEF au micro de Miri Tumatariri:
les entrepreneurs réagissent
Angélo Frébault, secrétaire général de la CSTP/FO