L’écrivain Ricardo Pineri a présenté, jeudi soir, à la Délégation de la Polynésie française, son dernier ouvrage, « Chroniques du temps volé », un recueil de nouvelles dont l’action se déroule sur le fenua.
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A travers ce livre, l’auteur a souhaité montrer le visage de la Polynésie d’aujourd’hui, loin des clichés et du mythe du paradis terrestre hérités du XVIIe siècle européen, mais aussi de sa version postcoloniale.
La soirée a débuté par la lecture d’extraits de l’ouvrage, par Teva Mazel, président de l’association culturelle, « Ma’ohi Paris », commentés par Ricardo Pineri. Un échange riche et convivial a ensuite eu lieu avec le public, durant près d’une heure, suivi d’une séance de dédicace et de discussions libres avec l’auteur.
Promouvoir la littérature polynésienne à la Délégation
Ricardo Pineri, professeur émérite des universités, a enseigné la littérature comparée et l’esthétique à l’université de la Polynésie française, après avoir exercé à l’université de Toulouse-Le Mirail et à l’université Paul Valéry de Montpellier. Il est l’auteur de nombreux ouvrages et études sur les peintres en Polynésie française. La soirée proposée jeudi dernier s’inscrivait dans la volonté de la Déléguée, Caroline Tang, de faire du 28 boulevard Saint-Germain un lieu de promotion de la littérature polynésienne, comme elle l’avait indiqué, en mars, aux écrivains et éditeurs du fenua, lors du Salon du livre de Paris.
La soirée a débuté par la lecture d’extraits de l’ouvrage, par Teva Mazel, président de l’association culturelle, « Ma’ohi Paris », commentés par Ricardo Pineri. Un échange riche et convivial a ensuite eu lieu avec le public, durant près d’une heure, suivi d’une séance de dédicace et de discussions libres avec l’auteur.
Promouvoir la littérature polynésienne à la Délégation
Ricardo Pineri, professeur émérite des universités, a enseigné la littérature comparée et l’esthétique à l’université de la Polynésie française, après avoir exercé à l’université de Toulouse-Le Mirail et à l’université Paul Valéry de Montpellier. Il est l’auteur de nombreux ouvrages et études sur les peintres en Polynésie française. La soirée proposée jeudi dernier s’inscrivait dans la volonté de la Déléguée, Caroline Tang, de faire du 28 boulevard Saint-Germain un lieu de promotion de la littérature polynésienne, comme elle l’avait indiqué, en mars, aux écrivains et éditeurs du fenua, lors du Salon du livre de Paris.