Deux bâtiments qui composent le Royal Papeete sont actuellement en cours de désamiantage sur le front de mer. L’un est ancien, construit dans les années 1895 et l’autre date des années 80.
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C’est un chantier de déconstruction et non de démolition qui emploie une dizaine de personnes pour évacuer toute l’amiante comprimée dans différents matériaux. Un chantier sous haute surveillance du bureau Veritas et dont le maître d’ouvrage est l’agence TNAD.
Les fibres d’amiante ont été très utilisées en construction pour leurs propriétés hydrophobes et isolantes. C’est d’ailleurs à l’origine une roche naturelle, dont les fibres sont 2 à 3000 fois plus fines qu’un cheveu. Bruno Mahikian nous en dit plus au micro de Brigitte Olivier :
Mais malheureusement, elles ont aussi le gros défaut de se loger dans les poumons et d’y causer des maladies, aujourd’hui bien identifiées.
La déconstruction consiste donc à ramasser l’amiante , à la mettre en sachets étanches et ensuite à l’envoyer dans des centres d’enfouissement spécialisés en métropole ou en Nouvelle Zélande. Les précisions de Jean Thierry Gluza du bureau Véritas :
Ces opérations, très coûteuses, à savoir un million de francs pacifiques, sont à la charge des propriétaires des bâtiments. Sur le site de l’hôtel Royal Papeete, ce sont 20 tonnes d’amiante qui vont être évacuées par des ouvriers vêtus de combinaisons spéciales et qui passent dans un sas de sécurité.
D’ici à 2 mois, ces mêmes ouvriers seront envoyés sur le chantier de déconstruction de l’hôpital Mamao , dont les opérations de désamiantage vont être très importantes en terme de quantité.
Les fibres d’amiante ont été très utilisées en construction pour leurs propriétés hydrophobes et isolantes. C’est d’ailleurs à l’origine une roche naturelle, dont les fibres sont 2 à 3000 fois plus fines qu’un cheveu. Bruno Mahikian nous en dit plus au micro de Brigitte Olivier :
Mais malheureusement, elles ont aussi le gros défaut de se loger dans les poumons et d’y causer des maladies, aujourd’hui bien identifiées.
La déconstruction consiste donc à ramasser l’amiante , à la mettre en sachets étanches et ensuite à l’envoyer dans des centres d’enfouissement spécialisés en métropole ou en Nouvelle Zélande. Les précisions de Jean Thierry Gluza du bureau Véritas :
Ces opérations, très coûteuses, à savoir un million de francs pacifiques, sont à la charge des propriétaires des bâtiments. Sur le site de l’hôtel Royal Papeete, ce sont 20 tonnes d’amiante qui vont être évacuées par des ouvriers vêtus de combinaisons spéciales et qui passent dans un sas de sécurité.
D’ici à 2 mois, ces mêmes ouvriers seront envoyés sur le chantier de déconstruction de l’hôpital Mamao , dont les opérations de désamiantage vont être très importantes en terme de quantité.