Ce jeudi 16 novembre s'est ouvert le salon du livre. Un évènement qui permet à la fois de connaître de nouveaux ouvrages, de rencontrer des auteurs, et découvrir des nouveautés. Cette année l'université de Polynésie présente la bibliothèque numérique Ana'ite.
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Au 17ème salon du livre "Lire en Polynésie", qui se tient du 16 au 19 novembre à la Maison de la Culture, le public peut rencontrer des auteurs, des illustrateurs, des éditeurs, et des univers différents. Cette année, l’université de Polynésie française tient également un stand sur place. L’idée est de proposer des livres comme pour une bibliothèque mobile où on peut venir bouquiner.
Le but est aussi de promouvoir l’outil numérique à travers une nouveauté : la bibliothèque Ana'ite, "la grotte du savoir" en tahitien. Mis en ligne en novembre et destinée aux chercheurs, aux étudiants mais aussi au grand public, cette toute nouvelle bibliothèque propose un accès à des documents libres de droits issus du fonds archivistique de la Polynésie française. L’objectif premier de cette bibliothèque numérique est d’échanger des fonds entre le SPAA et l’UPF afin d’enrichir le patrimoine commun de la Polynésie française et le rendre disponible aux lecteurs.
"On essaie de montrer aussi que la lecture peut passer par ce biais numérique (...) A partir du moment où on a une connexion internet, on peut avoir accès à ces ouvrages, on facilite donc l'accès à ces fonds", explique Vaea Deplat, médiatrice culturelle à la bibliothèque de l’université de Polynésie française.
Le but est aussi de promouvoir l’outil numérique à travers une nouveauté : la bibliothèque Ana'ite, "la grotte du savoir" en tahitien. Mis en ligne en novembre et destinée aux chercheurs, aux étudiants mais aussi au grand public, cette toute nouvelle bibliothèque propose un accès à des documents libres de droits issus du fonds archivistique de la Polynésie française. L’objectif premier de cette bibliothèque numérique est d’échanger des fonds entre le SPAA et l’UPF afin d’enrichir le patrimoine commun de la Polynésie française et le rendre disponible aux lecteurs.
"On essaie de montrer aussi que la lecture peut passer par ce biais numérique (...) A partir du moment où on a une connexion internet, on peut avoir accès à ces ouvrages, on facilite donc l'accès à ces fonds", explique Vaea Deplat, médiatrice culturelle à la bibliothèque de l’université de Polynésie française.
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