Les affaires reprennent pour des dizaines d'artisans qui ont particulièrement souffert durant le confinement. Certains d'entre eux ont mis à profit cette période de sommeil pour redoubler de créativité dans la perspective de ce 20e salon Made in fenua
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Nouvelles, inventives, créatives... Les idées foisonnent au salon Made in fenua, place To'ata. Au fil des allées, plusieurs artisans exposent. Parmi eux, un expert de la fibre de coco qu'il travaille depuis 30 ans. Un savoir-faire d'une centaine d'années mais dont la technique évolue. "Avant, on prend le coco marron, tu mets dans l'eau de mer trois mois. Maintenant on prend les cocos verts", confie Moïse Barsinas.
Hinarii Shing Soi, elle, est créatrice de mode. Durant le confinement, elle a eu l'idée de créer des ceintures en tissu. Une idée qui rencontre son succès. "Je vois beaucoup de gens qui s'arrêtent, sont intéressés, parfois de l'étonnement car c'est la première fois qu'ils voient ça. C'est une première aussi pour moi, car je n'ai jamais pris de cours de couture, je me débrouille", confie cette autodidacte.
Un peu plus loin, un stand de produits cosmétologiques. Un domaine très encadré. "Il faut vraiment passer par des laboratoires, constituer un dossier cosmétique. Les compétences que je n'avais pas, il a fallu que je retourne à l'école pour les acquérir et pouvoir m'appuyer sur des professionnels", explique Tetautiare Toomaru, chef d'entreprise.
Hinarii Shing Soi, elle, est créatrice de mode. Durant le confinement, elle a eu l'idée de créer des ceintures en tissu. Une idée qui rencontre son succès. "Je vois beaucoup de gens qui s'arrêtent, sont intéressés, parfois de l'étonnement car c'est la première fois qu'ils voient ça. C'est une première aussi pour moi, car je n'ai jamais pris de cours de couture, je me débrouille", confie cette autodidacte.
Un peu plus loin, un stand de produits cosmétologiques. Un domaine très encadré. "Il faut vraiment passer par des laboratoires, constituer un dossier cosmétique. Les compétences que je n'avais pas, il a fallu que je retourne à l'école pour les acquérir et pouvoir m'appuyer sur des professionnels", explique Tetautiare Toomaru, chef d'entreprise.