Helen Clark, l'ancienne Première ministre néo-zélandaise, ne sera pas la nouvelle secrétaire-générale des Nations unies. Elle a félicité, via Twitter, le Portugais Antonio Guterres, « large vainqueur » du scrutin.
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Le prochain secrétaire général de l'ONU ne sera pas une Néo-Zélandaise, mais un Portuguais. L'ancien Premier ministre kiwi, Helen Clark, faisait face à neuf candidats ; elle se classe cinquième, mais avec trois avis négatifs de membres permanents du Conseil de sécurité.
Le choix s'est porté sur Antonio Guterres qui doit encore être officiellement approuvé par le Conseil de sécurité, puis par l'Assemblée générale. Il devrait prendre la succession de Ban Ki-Moon à la tête de l'Onu le 1er janvier prochain.
Le Portugais Antonio Guterres a donc fait un pas décisif jeudi vers le poste de secrétaire général de l'ONU, avant un dernier vote la semaine prochaine qui devrait le porter à la tête d'une institution soumise à de nombreux défis.
Lors d'une réunion à huis clos, le Conseil de sécurité a adopté à l'unanimité la motion qui recommandait l'ancien premier ministre du Portugal pour un mandat de cinq ans, un vote suivi d'applaudissements, selon des diplomates présents.
E.Largenton/Radio Australia/AFP
Le choix s'est porté sur Antonio Guterres qui doit encore être officiellement approuvé par le Conseil de sécurité, puis par l'Assemblée générale. Il devrait prendre la succession de Ban Ki-Moon à la tête de l'Onu le 1er janvier prochain.
A l'unanimité
Le Portugais Antonio Guterres a donc fait un pas décisif jeudi vers le poste de secrétaire général de l'ONU, avant un dernier vote la semaine prochaine qui devrait le porter à la tête d'une institution soumise à de nombreux défis.
Lors d'une réunion à huis clos, le Conseil de sécurité a adopté à l'unanimité la motion qui recommandait l'ancien premier ministre du Portugal pour un mandat de cinq ans, un vote suivi d'applaudissements, selon des diplomates présents.
E.Largenton/Radio Australia/AFP