Les six jeunes cadets de la République ont été décorés ce vendredi 26 août 2016. Cette cérémonie vient clôturer leurs années de formations.
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Ils n’avaient ni bac, ni diplôme et les voilà en passe de devenir policiers.
Les six cadets de la République sont des jeunes, de 20 à 27 ans qui n’ont aucun diplôme mais qui ont réussi à intégrer un cursus de formation parallèle.
Tout d'abord une première année de formation avec au programme des matières comme le droit, le français… Une sorte de deuxième chance pour ces jeunes.
Puis, les voilà partis vers cinq années de pratique. Parmi les six jeunes, on retrouve quatres garçons et deux filles, dont l’une, de 27 ans est sortie major. Cette dernière va d'ailleurs intégrer pour ses cinq années de formation, la PAF, Police des Airs et des Frontières. Pour les cinq autres, ce sera à la DSP qu’ils feront leurs armes.
Après ces cinq années, ils passeront un concours final qui leur permettra d’aboutir à un an de formation en métropole avant de revenir au fenua et d’être définitivement intégrés dans les services de police polynésiens. Accéder à ce type de poste sans diplôme est habituellement impossible. C’est donc une grande chance qui s’offre à eux. Une chance qu’ils ont eux même déclenché, puisque pour entrer dans cette formation parallèle ils ont dû travailler dur. Les formateurs qui se sont occupés d’eux affirment d’ailleurs qu’après un an de formation, les jeunes sont méconnaissables et déterminés à réussir.
La cérémonie d’aujourd’hui est alors pour ces cadets, l’image d’un rêve qui ne fait que commencer.
Les six cadets de la République sont des jeunes, de 20 à 27 ans qui n’ont aucun diplôme mais qui ont réussi à intégrer un cursus de formation parallèle.
Tout d'abord une première année de formation avec au programme des matières comme le droit, le français… Une sorte de deuxième chance pour ces jeunes.
Puis, les voilà partis vers cinq années de pratique. Parmi les six jeunes, on retrouve quatres garçons et deux filles, dont l’une, de 27 ans est sortie major. Cette dernière va d'ailleurs intégrer pour ses cinq années de formation, la PAF, Police des Airs et des Frontières. Pour les cinq autres, ce sera à la DSP qu’ils feront leurs armes.
Après ces cinq années, ils passeront un concours final qui leur permettra d’aboutir à un an de formation en métropole avant de revenir au fenua et d’être définitivement intégrés dans les services de police polynésiens. Accéder à ce type de poste sans diplôme est habituellement impossible. C’est donc une grande chance qui s’offre à eux. Une chance qu’ils ont eux même déclenché, puisque pour entrer dans cette formation parallèle ils ont dû travailler dur. Les formateurs qui se sont occupés d’eux affirment d’ailleurs qu’après un an de formation, les jeunes sont méconnaissables et déterminés à réussir.
La cérémonie d’aujourd’hui est alors pour ces cadets, l’image d’un rêve qui ne fait que commencer.