O oe to oe rima avait déposé un préavis de grève à l'hôtel Intercontinental de Tahiti. Faute d'accord, la grève devait être effective ce jeudi 5 septembre. Mais, le syndicat y a finalement renoncé, malgré l'absence d'accord formel.
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C'était avant tout en solidarité avec leurs collègues de l'Intercontinental Moorea : le syndicat O oe to oe rima avait déposé un préavis dans l'hôtel de Tahiti, vendredi 30 août.
Faute d'accord, la grève devait être effective ce jeudi 5 septembre.
Des réunions entre syndicat et direction ont bien eu lieu, la dernière se tenant mercredi 4 septembre. Mais il n'y a pas eu d'accord formel. Toutefois, O oe to oe rima a finalement choisi de ne pas aller à la grève.
Parmi les points de revendication, l'instauration d'une prime de nuit ou encore la révision des congés payés.
L'Intercontinental de Moorea est en grève depuis le 29 août, à l'appel de ce même syndicat, pour soutenir quatre employés mis à pied après une plainte déposée pour viol collectif par une autre salariée.
Les associations Vahine Orama et l’Union de femmes francophones d’Océanie demandent au syndicat de laisser la justice faire son travail : "La réintégration d'agresseurs présumés ne doit pas être une revendication syndicale," se sont-elles indignées dans un communiqué.
Le groupe Intercontinental (restaurant Le Lotus, The Brando, hôtels Maitai, Moorea Dolphin Center, Polynésie Voyages, Paul Gauguin) a par ailleurs annoncé qu'en conséquence, il annulait sa participation au salon du tourisme, qui se tiendra du 6 au 9 septembre, à Mamao.
Concernant les faits présumés de viol dans l'hôtel de Moorea, une enquête est en cours.
Faute d'accord, la grève devait être effective ce jeudi 5 septembre.
Des réunions entre syndicat et direction ont bien eu lieu, la dernière se tenant mercredi 4 septembre. Mais il n'y a pas eu d'accord formel. Toutefois, O oe to oe rima a finalement choisi de ne pas aller à la grève.
Parmi les points de revendication, l'instauration d'une prime de nuit ou encore la révision des congés payés.
L'Intercontinental de Moorea est en grève depuis le 29 août, à l'appel de ce même syndicat, pour soutenir quatre employés mis à pied après une plainte déposée pour viol collectif par une autre salariée.
Les associations Vahine Orama et l’Union de femmes francophones d’Océanie demandent au syndicat de laisser la justice faire son travail : "La réintégration d'agresseurs présumés ne doit pas être une revendication syndicale," se sont-elles indignées dans un communiqué.
Le groupe Intercontinental (restaurant Le Lotus, The Brando, hôtels Maitai, Moorea Dolphin Center, Polynésie Voyages, Paul Gauguin) a par ailleurs annoncé qu'en conséquence, il annulait sa participation au salon du tourisme, qui se tiendra du 6 au 9 septembre, à Mamao.
Concernant les faits présumés de viol dans l'hôtel de Moorea, une enquête est en cours.