Mahealani Amaru, danseuse bien connue des Polynésiens, est installée à Limoges en Haute Vienne. Confinée chez elle, comme tous les Français, elle raconte à quoi ressemble désormais son quotidien. Le plus difficile pour elle? Etre éloignée de sa famille en cette période de crise.
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"Je veux m'adresser aux ultramarins qui ne vivent pas dans les territoires d'Outremer, qui vivent dans l'hexagone, en Europe ou ailleurs, et qui voudraient rentrer (...). Je leur demande de ne pas le faire, parce que c'est aussi comme ça que va se véhiculer le virus dans les territoires d'Outre-mer " a déclaré ce matin Annick Girardin, la ministre des Outre-mer.
Ce message s'adresse aussi aux milliers de Polynésiens qui vivent en métropole. Comme Mahealani Amaru, installée à Limoges en Haute Vienne. La championne de danse tahitienne a intégré l’école supérieure professionnelle de théâtre du Limousin. Désormais, Mahealani est confinée chez elle, et son école a fermé.
Loin de sa famille, elle tente de passer le temps comme elle peut.
"Entre ultramarins, on se soutient énormément", explique-t-elle à Alain Rosalie.
Le plus difficile pour elle? Etre éloignée de sa famille en cette période de crise.
Ce message s'adresse aussi aux milliers de Polynésiens qui vivent en métropole. Comme Mahealani Amaru, installée à Limoges en Haute Vienne. La championne de danse tahitienne a intégré l’école supérieure professionnelle de théâtre du Limousin. Désormais, Mahealani est confinée chez elle, et son école a fermé.
Loin de sa famille, elle tente de passer le temps comme elle peut.
"Entre ultramarins, on se soutient énormément", explique-t-elle à Alain Rosalie.
Mahealani Amaru
Le plus difficile pour elle? Etre éloignée de sa famille en cette période de crise.
Mahealani Amaru