A Faa'a dans les jardin de la mairie, 14 tatoueurs ont rendez-vous pour montrer leur art. Les artistes participent au festival Tatau, qui se déroule jusqu'au dimanche 14 avril. Deux thèmes sont proposés aux participants : polynesia modern et le patutuki black
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C'est un art à fleur de peau qui dit bien des choses : de soi, de la culture, des peuples océaniens... Le tatouage est en fête à Faa'a. 14 tatoueurs font le spectacle et dévoilent leur talent lors du festival Tatau. Et, pour conclure les festivités, c'est le temps des concours sous l'oeil avisé de Grace Shing Soy , la Miss Inck de Tahiti qui a profité du rendez-vous pour peaufiner ses tatouages... Elle défendra les couleurs du fenua le 4 mai prochain en Alsace pour Miss Inck France.
En attendant, la jeune femme a décidé de faire du polynesian modern, thème du concours de ce samedi 13 avril. "Le tatouage polynésien est divers et complexe : on a le tradition et le moderne (...) Le traditionnel a des motifs spécifiques pour chaque partie du corps, le moderne, on peut aller sur n'importe quel motif et sur n'importe quelle partie du corps", confie la miss Inck qui a suivi la tendance actuelle. "Depuis une dizaine d'années le polynesian modern a pris de l'ampleur", confie Pai Ariitai, l'organisateur de la manifestation.
Parmi les tatoueurs qui participent au concours, Parima originaire de Rapa, îles des Australes. L'artiste reproduit les motifs de son île et de son archipel. "Je représente le penu, qui vient de chez nous, ou encore la baleine aussi qui représente les Australes", explique-t-il.
En attendant, la jeune femme a décidé de faire du polynesian modern, thème du concours de ce samedi 13 avril. "Le tatouage polynésien est divers et complexe : on a le tradition et le moderne (...) Le traditionnel a des motifs spécifiques pour chaque partie du corps, le moderne, on peut aller sur n'importe quel motif et sur n'importe quelle partie du corps", confie la miss Inck qui a suivi la tendance actuelle. "Depuis une dizaine d'années le polynesian modern a pris de l'ampleur", confie Pai Ariitai, l'organisateur de la manifestation.
Parmi les tatoueurs qui participent au concours, Parima originaire de Rapa, îles des Australes. L'artiste reproduit les motifs de son île et de son archipel. "Je représente le penu, qui vient de chez nous, ou encore la baleine aussi qui représente les Australes", explique-t-il.