L'auteur Ezekiela Tchong Tai a reçu le premier prix de 600 000 cfp.
•
Cela faisait 13 ans que le concours littéraire de langue tahitienne n’avait plus été organisé. La dernière édition date de l’année 2004. L’Académie tahitienne, « Fare Vana’a » a décidé cette année de relancer le prix et en a profité pour rendre hommage à John Taroanui Doom en hommage à son investissement au sein de l’académie.
mardi 28 novembre a eue lieu la remise des prix en présence du Président du territoire et du ministre de la culture.
Le premier prix de 600 000 cfp est revenu à Ezekiela Tchong Tai pour son ouvrage « Te a’ai no te mau rimarima o’ Tia’itau », une histoire d’amour inspirée d’une légende.
Le gouvernement a déclaré réfléchir à une manière de faire évoluer le statut de l’Académie littéraire de simple association à une véritable institution.
Par ailleurs, l’auteure également présidente de l’académie tahitienne a été récompensée début juillet par le "prix Heredia" de l’Académie française pour son recueil de poésie "Au vent de la piroguière – Tīfaifai" publié l’an dernier aux éditions Bruno Doucey.
Pour Flora Devatine cette récompense sonne comme une reconnaissance de la littérature polynésienne.
mardi 28 novembre a eue lieu la remise des prix en présence du Président du territoire et du ministre de la culture.
Le premier prix de 600 000 cfp est revenu à Ezekiela Tchong Tai pour son ouvrage « Te a’ai no te mau rimarima o’ Tia’itau », une histoire d’amour inspirée d’une légende.
Ezekiela au micro d'Ibrahim Ahmed Hazi
Le gouvernement a déclaré réfléchir à une manière de faire évoluer le statut de l’Académie littéraire de simple association à une véritable institution.
Flora Devatine sera honorée ce jeudi à Paris par l’Académie française
Par ailleurs, l’auteure également présidente de l’académie tahitienne a été récompensée début juillet par le "prix Heredia" de l’Académie française pour son recueil de poésie "Au vent de la piroguière – Tīfaifai" publié l’an dernier aux éditions Bruno Doucey.
Pour Flora Devatine cette récompense sonne comme une reconnaissance de la littérature polynésienne.
La réaction de l'académicienne Denise Raapoto