La cérémonie du Farereiraa a débuté ce lundi 16 juillet à la maison de la culture. L'occasion pour les passionnés de 'Ori Tahiti originaires des Etats Unis et du Mexique de se rendre compte de leur niveau auprès de Tahitiens.
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Le Farereira'a est un événement initié par Coco Hotahota. La première édition s'est déroulée en 2004. Plus de 350 passionnés étrangers étaient alors venus à la rencontre des racines de la culture Polynésienne en concourant ensemble et en organisant des spectacles à To'ata, le berceau du 'ori Tahiti.
L'édition 2018 a démarré ce lundi 16 juillet. Elle se fonde sur la même démarche et le même engouement. Elle sera portée par 6 groupes venus d'Amérique et du Mexique. Certains sont déjà bien connus en Polynésie. Les troupes de Nemezon, Te Varua 'Ori, Te mana o te ra, mais aussi Noelani, Hui Tarava et Hura Atua regrouperont 350 artistes qui s'affronteront amicalement, en solo ou en groupe. Ce matin, ils étaient 150 danseurs à concourir pour le parcours solo. C'était le cas de pour Sophia, pratiquante de Ori Tahiti depuis deux ans. "J'aime le 'Ori Tahiti surtout à cause du tempo rapide de la danse. Je suis aussi très étonnée de l'effort qui est mis dans la confection des costumes. Ils sont tous merveilleux." a-t-elle confié à Lai Temauri.
Coco Hotahota est comme toujours présent. Il est chaque année étonné par le niveau des danseurs étranger. "Techniquement les garçons et les filles de Tahiti sont battus par les étrangers. C'est un peu dur pour nous, mais ce qui nous sauve, c'est notre façon de danser. Les filles et les garçons de Tahiti dansent avec beaucoup d'amour, alors que les américains et les mexicains sont trop concentrés sur le tempo." a-t-il lâché entre deux représentations.
L'une des missions que l'événement s'est donnée est de permettre aux groupes étrangers pratiquant le 'Ori Tahiti de connaître la Polynésie, sa culture, sa langue et son peuple. C'est une véritable vitrine qui permet aux professionnels du 'Ori Tahiti de faire ce qu'ils savent faire le mieux : mettre à l'honneur la culture Polynésienne.
J'aime le 'Ori Tahiti surtout à cause du tempo rapide de la danse.
L'édition 2018 a démarré ce lundi 16 juillet. Elle se fonde sur la même démarche et le même engouement. Elle sera portée par 6 groupes venus d'Amérique et du Mexique. Certains sont déjà bien connus en Polynésie. Les troupes de Nemezon, Te Varua 'Ori, Te mana o te ra, mais aussi Noelani, Hui Tarava et Hura Atua regrouperont 350 artistes qui s'affronteront amicalement, en solo ou en groupe. Ce matin, ils étaient 150 danseurs à concourir pour le parcours solo. C'était le cas de pour Sophia, pratiquante de Ori Tahiti depuis deux ans. "J'aime le 'Ori Tahiti surtout à cause du tempo rapide de la danse. Je suis aussi très étonnée de l'effort qui est mis dans la confection des costumes. Ils sont tous merveilleux." a-t-elle confié à Lai Temauri.
"Techniquement les garçons et les filles de Tahiti sont battus par les étrangers
Coco Hotahota est comme toujours présent. Il est chaque année étonné par le niveau des danseurs étranger. "Techniquement les garçons et les filles de Tahiti sont battus par les étrangers. C'est un peu dur pour nous, mais ce qui nous sauve, c'est notre façon de danser. Les filles et les garçons de Tahiti dansent avec beaucoup d'amour, alors que les américains et les mexicains sont trop concentrés sur le tempo." a-t-il lâché entre deux représentations.
L'une des missions que l'événement s'est donnée est de permettre aux groupes étrangers pratiquant le 'Ori Tahiti de connaître la Polynésie, sa culture, sa langue et son peuple. C'est une véritable vitrine qui permet aux professionnels du 'Ori Tahiti de faire ce qu'ils savent faire le mieux : mettre à l'honneur la culture Polynésienne.
Te Farereira'a ('Ori Tahiti) : Les étrangers sont meilleurs techniquement