Et si le choix du site de surf pour les JO de 2024 était arrêté dès ce jeudi ? C'est ce que rapportent des sources concordantes, selon lesquelles Teahupoo est le grand favori, devant Biarritz, Lacanau et Hossegor, malgré son éloignement de Paris qui accueille les Jeux.
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Le choix du site de surf aux Jeux olympiques de Paris-2024 figure jeudi au menu d'un conseil d'administration (CA) du comité d'organisation des JO (Cojo), où Tahiti pourrait être intronisé, selon des sources concordantes interrogées par l'AFP.
L'île polynésienne, étape du circuit pro masculin, est en concurrence avec trois sites dans le sud-ouest (Biarritz, Lacanau et Hossegor-Seignosse-Capbreton) et un en Bretagne (La Torche), pour accueillir les 48 surfeurs et surfeuses qui disputeront les épreuves de shortboard en 2024.
Mais d'après des sources proches du CA, c'est bien Tahiti qui fait figure de favorite grâce aux garanties qu'offrent ses vagues pendant la période des Jeux (26 juillet-11 août 2024) et malgré la distance de Paris (15.000 km).
Associer les Outre-mer à l'organisation des JO
D'après plusieurs sources proches du CA, qui ont requis l'anonymat, une délibération pourrait être adoptée pour introniser Tahiti.
Outre la qualité des vagues, l'Etat voit d'un bon oeil l'idée d'associer l'Outre-mer à l'organisation des JO, et la ville de Paris ne s'y oppose pas, a indiqué l'une de ses sources à l'AFP.
Mais la semaine dernière, en marge d'une commission exécutive du Comité international olympique (CIO), Tony Estanguet avait expliqué que le conseil d'administration n'était pas "obligé de prendre une décision" dès jeudi, Paris-2024 ayant jusque fin 2020 pour arrêter définitivement la carte des sites de compétition.
Vendredi, la ville de Biarritz (Pyrénées-Atlantiques) s'est émue de "contre-vérités" et d'un "choix qui semble déjà établi", alors que les articles de presse suggérant que Tahiti est favori se sont multipliés. L'adjoint au maire de la ville en charge du surf, Laurent Ortiz, a mis en avant la proximité du site de Biarritz avec Paris "et un très faible impact, tant environnemental que financier".
Le surf fait partie des sports additionnels du programme olympique aux JO de Tokyo-2020 et le Cojo de Paris-2024 l'a aussi inscrit parmi quatre sports additionnels (escalade, surf, breakdance, skateboard), une liste que le CIO doit valider fin 2020.
L'île polynésienne, étape du circuit pro masculin, est en concurrence avec trois sites dans le sud-ouest (Biarritz, Lacanau et Hossegor-Seignosse-Capbreton) et un en Bretagne (La Torche), pour accueillir les 48 surfeurs et surfeuses qui disputeront les épreuves de shortboard en 2024.
Mais d'après des sources proches du CA, c'est bien Tahiti qui fait figure de favorite grâce aux garanties qu'offrent ses vagues pendant la période des Jeux (26 juillet-11 août 2024) et malgré la distance de Paris (15.000 km).
Associer les Outre-mer à l'organisation des JO
D'après plusieurs sources proches du CA, qui ont requis l'anonymat, une délibération pourrait être adoptée pour introniser Tahiti.
Outre la qualité des vagues, l'Etat voit d'un bon oeil l'idée d'associer l'Outre-mer à l'organisation des JO, et la ville de Paris ne s'y oppose pas, a indiqué l'une de ses sources à l'AFP.
Mais la semaine dernière, en marge d'une commission exécutive du Comité international olympique (CIO), Tony Estanguet avait expliqué que le conseil d'administration n'était pas "obligé de prendre une décision" dès jeudi, Paris-2024 ayant jusque fin 2020 pour arrêter définitivement la carte des sites de compétition.
Vendredi, la ville de Biarritz (Pyrénées-Atlantiques) s'est émue de "contre-vérités" et d'un "choix qui semble déjà établi", alors que les articles de presse suggérant que Tahiti est favori se sont multipliés. L'adjoint au maire de la ville en charge du surf, Laurent Ortiz, a mis en avant la proximité du site de Biarritz avec Paris "et un très faible impact, tant environnemental que financier".
Le surf fait partie des sports additionnels du programme olympique aux JO de Tokyo-2020 et le Cojo de Paris-2024 l'a aussi inscrit parmi quatre sports additionnels (escalade, surf, breakdance, skateboard), une liste que le CIO doit valider fin 2020.