Les habitants de la côte Est de Tahiti se souviennent d'un truck roulant la nuit entièrement illuminé et fleuri avec à son bord des passagers étranges, certains prétendent que ce truck circulait avec les âmes errantes des victimes d’un accident survenu à proximité dans les années 50.
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Le « Tahiti des années 50 »… Une époque où l’on pouvait encore caresser la beauté naturelle et sauvage de l’île du bout des yeux… Une période faste où les goélettes faisaient la joie des touristes et où les trucks, les bus d’antan, étaient le moyen de transport le plus utilisé… Certains se souviennent encore de ce temps là, ce temps où l’on faisait le tour de l’île entre amis aux rythmes des guitares, des ukulélés et de la basse « Tura »…
Cette tranche de l’histoire rappelle certes, des souvenirs émouvants, mais elle n’occulte pas ses tragédies, celle par exemple du truck qui sombra dans la mer à Papenoo, il n’y eut aucun survivant…
Aujourd’hui, personne ne semble être en mesure de dire avec précision ce qui s’est vraiment passé le fameux soir de l’accident, ni même combien de passagers étaient dans le truck, combien de femmes, d’hommes ou d’enfants. Une chose est sure, ces joyeux lurons faisaient le tour de l’île et rentraient chez eux après une journée bien arrosée…
Les septuagénaires de la presqu’île qui ont vécu à cette époque, ont tous entendu parler de cette histoire tragique, étant enfants. Mais aujourd’hui, elle semble bien être passée aux oubliettes. Ces âmes errantes ont peut-être fini par trouver le chemin de la lumière et sont passés de l’autre côté, un lieu où leurs âmes pourront reposer en paix ad vitam eternam.
Tahiata / Carmen Doom / Bruno Iedra
Cette tranche de l’histoire rappelle certes, des souvenirs émouvants, mais elle n’occulte pas ses tragédies, celle par exemple du truck qui sombra dans la mer à Papenoo, il n’y eut aucun survivant…
Aujourd’hui, personne ne semble être en mesure de dire avec précision ce qui s’est vraiment passé le fameux soir de l’accident, ni même combien de passagers étaient dans le truck, combien de femmes, d’hommes ou d’enfants. Une chose est sure, ces joyeux lurons faisaient le tour de l’île et rentraient chez eux après une journée bien arrosée…
Les septuagénaires de la presqu’île qui ont vécu à cette époque, ont tous entendu parler de cette histoire tragique, étant enfants. Mais aujourd’hui, elle semble bien être passée aux oubliettes. Ces âmes errantes ont peut-être fini par trouver le chemin de la lumière et sont passés de l’autre côté, un lieu où leurs âmes pourront reposer en paix ad vitam eternam.
Tahiata / Carmen Doom / Bruno Iedra
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