A Ua Pou, aux Marquises, les enseignants absents ne sont pas remplacés. Cette situation dure depuis le mois d'août. Les parents d'élèves sont dépités alors que l'administration tente de trouver des solutions. Reportage.
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Devant la classe de la maternelle, une affiche sur la porte : classe fermée. Le directeur de l'école a choisi de fermer la classe pour pallier les absences d'enseignants. "J'ai préféré orienter les efforts vers les élèves de plus de 5 ans, l'âge d'être à l'école", explique Jacob Kaiha, directeur du CSP de Hakahau. Depuis le début de l'année scolaire, les élèves de la classe de STP ont été accueillis par quatre professeurs des écoles différents.
Aujourd'hui, la coupe est pleine. "On souhaiterait avoir un remplaçant pour toute l'année scolaire", confie Marie-Célina Kaiha, une parent d'élève. "Il faut trouver rapidement une solution à ce problème", estime le tavana de l'île Joseph Kaiha qui en appelle à la ministre de l'Education et la DGEE.
Evasane, congés maternité, arrêts maladies, formations... Les motifs d'absences sont nombreux. A la direction de l'Education, on assure que les abus en la matière seront mieux contrôlés. "Il se peut qu'on aboutisse sur des médecins régulateurs qui seraient missionnés pour contrôler les abus des arrêts maladies" explique Serge Segura, directeur de l'action pédagogique DGEE.
Aujourd'hui, la coupe est pleine. "On souhaiterait avoir un remplaçant pour toute l'année scolaire", confie Marie-Célina Kaiha, une parent d'élève. "Il faut trouver rapidement une solution à ce problème", estime le tavana de l'île Joseph Kaiha qui en appelle à la ministre de l'Education et la DGEE.
Evasane, congés maternité, arrêts maladies, formations... Les motifs d'absences sont nombreux. A la direction de l'Education, on assure que les abus en la matière seront mieux contrôlés. "Il se peut qu'on aboutisse sur des médecins régulateurs qui seraient missionnés pour contrôler les abus des arrêts maladies" explique Serge Segura, directeur de l'action pédagogique DGEE.