Le plaisancier était tombé à l'eau mais la vedette était sur pilote automatique: pendant sept heures, jeudi, une chasse a été lancée en Atlantique pour intercepter l'embarcation qui a parcouru, sans personne à bord, mais sans dommages, quelque 60 milles nautiques, soit près de 110 km.
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L'histoire se passe en Bretagne. Jeudi en milieu d'après-midi, un plaisancier a averti le Centre régional opérationnel de surveillance et de sauvetage (CROSS) qu'il avait récupéré sain et sauf un naufragé dont le navire poursuivait sa route, entre l'archipel des Glénans et Belle-Ile, sur pilote automatique et sans personne à bord, a annoncé vendredi la préfecture maritime de l'Atlantique.
Pendant environ sept heures, la vedette a filé droit vers Saint-Jean-de-Luz, a indiqué la préfecture maritime, selon laquelle un avion de patrouille de la Marine nationale et une vedette de la SNSM ont été mobilisés pour l'intercepter.
Finalement, trois équipiers de la SNSM ont réussi à monter à bord et à reprendre le contrôle du bateau, ramené à bon port "sans dommages humains ou matériels".
Selon le patron de la vedette de secours, Ronan Le Roux, interrogé par un correspondant de l'AFP, "le risque, c'était de laisser filer le bateau dans la nuit car il avait encore beaucoup de carburant mais il n'avait pas de feu de signalisation et ça représentait un danger pour les autres usagers de la mer".
Pendant environ sept heures, la vedette a filé droit vers Saint-Jean-de-Luz, a indiqué la préfecture maritime, selon laquelle un avion de patrouille de la Marine nationale et une vedette de la SNSM ont été mobilisés pour l'intercepter.
Finalement, trois équipiers de la SNSM ont réussi à monter à bord et à reprendre le contrôle du bateau, ramené à bon port "sans dommages humains ou matériels".
Selon le patron de la vedette de secours, Ronan Le Roux, interrogé par un correspondant de l'AFP, "le risque, c'était de laisser filer le bateau dans la nuit car il avait encore beaucoup de carburant mais il n'avait pas de feu de signalisation et ça représentait un danger pour les autres usagers de la mer".